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Congrès annuel de la LSPRAS
La Société libanaise de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique (LSPRAS) a tenu un congrès axé sur « la transmission en direct de chirurgies cosmétiques ». Organisé en collaboration avec la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique (ISAPS), ce premier cours de « chirurgies en direct » a réuni plus de 130 spécialistes libanais et étrangers (Suisse, Chypre, Allemagne, France, Belgique, États-Unis, Turquie et Singapour), en présence du président de l’ISAPS, Jan Poell.
Deux jours durant, près de dix opérations (lifting du corps, abdominoplastie, injection de graisses...) ont été retransmises du bloc opératoire jusqu’à la salle du congrès. Les techniques utilisées ont fait par la suite l’objet d’une journée de conférences au cours de laquelle elles ont pu être discutées.
Commentant le congrès, le Dr Poell a salué la LSPRAS, affirmant qu’elle a posé de nouveaux standards pour les prochains cours de l’ISAPS.

La dette de sommeil se paie à long terme
Somnolence diurne, troubles de la vigilance avec augmentation du risque de chutes ou d’accidents de la voie publique... les conséquences d’un manque de sommeil ne sont pas seulement visibles à court terme. Le manque de sommeil affecte effectivement le corps à long terme, augmentant ainsi le risque des maladies cardio-vasculaires, des troubles du métabolisme et des dépressions, rapporte l’agence Destination santé.
Plusieurs travaux ont également révélé que le manque de sommeil et la somnolence diurne élevaient le risque de maladies cardio-vasculaires. Au même titre d’ailleurs qu’une mauvaise qualité de sommeil due notamment à des affections comme le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) ou le syndrome des jambes sans repos.
Certains troubles du métabolisme, comme le diabète, ont aussi été mis en évidence chez les petits dormeurs. Une étude publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) a ainsi fait état d’une augmentation du risque d’obésité... chez les nourrissons qui faisaient de petites nuits.
La privation de sommeil peut enfin augmenter le risque de dépression. En juin 2011, des chercheurs américains ont en effet montré que les hommes – et seulement les hommes – qui dormaient moins de six heures par nuit ou plus de 9 heures étaient davantage concernés par la dépression que ceux qui faisaient des nuits moyennes de 6 à 9 heures.
Congrès annuel de la LSPRASLa Société libanaise de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique (LSPRAS) a tenu un congrès axé sur « la transmission en direct de chirurgies cosmétiques ». Organisé en collaboration avec la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique (ISAPS), ce premier cours de « chirurgies en direct » a réuni plus de 130...

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