Cette action a selon lui commencé dans la foulée des guerres mondiales et elle était dirigée par les pays colonialistes en Asie et en Afrique. Dans les années soixante, cette action s’est liée aux causes justes, notamment sur la base de la guerre du Vietnam, avant de revêtir un aspect technique dépendant essentiellement des parties qui financement les ONG. Récemment, avec l’éclatement du printemps arabe, porteur d’espoirs pour les populations de la région, l’action humanitaire pourrait revenir à une plus grande solidarité avec les causes justes, à leur tête la cause palestinienne.
C’est dans cette optique que Amel et Amel International travaillent au Liban et dans la région en prodiguant une aide humanitaire, mais aussi en contribuant à la culture de la citoyenneté et des droits civils. Mohanna a été longuement ovationné lorsqu’il a estimé que le printemps arabe est un mouvement qui ne s’arrêtera pas à mi-chemin et qu’il est en harmonie avec celui des indignés en Europe et aux États-Unis.
Selon lui, tous les peuples sont désormais conscients qu’ils ont un avenir commun dans un seul monde.
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