Quatre musiciens, quatre talents qui ont conquis le public.(Photo Hassan Assal)
Trois violons et un violoncelle. Deux hommes qui allient la classe du costume à celle de leurs instruments. Deux femmes en robe longue. Trois Roumains et une Polonaise: Magdalena Maria Sokola, Manuela Maria Buciumas, Ondin Brezeanu, Silviu Gabriel Gherasimescu. La complexité de leurs patronymes est en opposition avec la simplicité qu’ils ont de faire parler leurs archets. Ils jouent. Et il suffisait de fermer les yeux un instant pour être transporté dans l’univers des grands galas. Oubliez les violons qui pleurent et grincent. Leur musique est chantonnante. Elle sourit. Elle valse et danse. Leurs doigts sautent sur le manche. Ils se regardent. Se sourient. Une synchronisation que seuls les passionnés savent déclencher. Et pour cause, les quatre musiciens sont membres de l’Orchestre philharmonique libanais. L’un d’entre eux est même second violon et, d’ailleurs, a été élogieusement présenté en début de soirée. Des passionnés qui offrent à notre culture un peu de la leur. Les morceaux se suivent entrecoupés d’applaudissements. Les musiciens se lèvent parfois pour s’incliner en guise de remerciement. À la sortie, on sent une certaine sérénité et une certitude: ces Roumains ont la mélodie (du bonheur) dans le sang.
Trois violons et un violoncelle. Deux hommes qui allient la classe du costume à celle de leurs instruments. Deux femmes en robe longue. Trois Roumains et une Polonaise: Magdalena Maria Sokola, Manuela Maria Buciumas, Ondin Brezeanu, Silviu Gabriel Gherasimescu. La complexité de leurs patronymes est en opposition avec la simplicité qu’ils ont de faire parler leurs archets. Ils jouent. Et il...
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