Insolite
Le « MIAOU-TRAGE » fait à Matilda
La police sanitaire new-yorkaise a fait scandale en imposant à l’hôtel Algonquin, un incontournable de Manhattan, de mettre une laisse à sa chatte, véritable institution dont les prédécesseurs ont trôné dans le hall d’entrée depuis les années 1930. Matilda, troisième du nom et dixième félin de la maison, doit endurer l’humiliation de porter un collier et une laisse depuis que les inspecteurs des services de santé et d’hygiène ont décrété que le prestigieux hôtel, qui abrite également un restaurant, était désormais réservé aux êtres humains. La perspective de recevoir une mauvaise note de l’inspection sanitaire, et de voir du même coup la réputation de l’établissement s’écailler, a obligé la direction de l’hôtel à priver son célèbre hôte de sa liberté. Le tabloïde The New York Post s’est indigné de cet attentat à la liberté du félin, en titrant, en une, « MIAOU-TRAGE » (MEOW’TRAGE). Matilda, comme ses prédécesseurs, reçoit régulièrement du courrier, possède sa propre chambre équipée d’une chatière, et un service en chambre, naturellement.
People
Les chansons d’amour de Berlusconi font un flop
Les temps sont durs pour Silvio Berlusconi : récemment chassé de son poste de chef du gouvernement, voilà que son dernier CD de chansons d’amour semble boudé des consommateurs italiens. Sorti la semaine dernière, L’amour vrai, dont il a écrit les paroles, est interprété par l’un de ses amis, le chanteur et guitariste napolitain Mariano Apicella. « Nous avons une copie dans l’entrepôt, mais je ne sais pas si et quand nous la mettrons dans les étagères », a déclaré le vendeur d’un magasin Feltrinelli dans le centre de Rome. « Personne ne l’a encore demandé, à part cinq journalistes », a-t-il ajouté. Le magasin Ricordi Media Store, situé dans la plus commerciale des rues du centre, Via del Corso, a affirmé avoir aussi une seule copie du CD, mais le vendeur ne le retrouvait plus sur les étagères. Pour autant, Mariano Apicella affirme que l’ex-président du Conseil, 75 ans, réputé pour ses frasques sexuelles qui lui valent notamment un procès pour prostitution de mineure, « ne va pas renoncer » à écrire des chansons d’amour. Il s’agit du quatrième CD réalisé par le chanteur napolitain avec Silvio Berlusconi, qui a travaillé dans sa jeunesse comme chanteur sur des bateaux de croisière.
Le « MIAOU-TRAGE » fait à Matilda
La police sanitaire new-yorkaise a fait scandale en imposant à l’hôtel Algonquin, un incontournable de Manhattan, de mettre une laisse à sa chatte, véritable institution dont les prédécesseurs ont trôné dans le hall d’entrée depuis les années 1930. Matilda, troisième du nom et dixième félin de la maison, doit endurer l’humiliation de porter un collier et une laisse depuis que les inspecteurs des services de santé et d’hygiène ont décrété que le prestigieux hôtel, qui abrite également un restaurant, était désormais réservé aux êtres humains. La perspective de recevoir une mauvaise note de l’inspection sanitaire, et de voir du même coup la réputation de l’établissement s’écailler, a obligé la direction de l’hôtel à priver son célèbre hôte de sa liberté. Le tabloïde The New York Post s’est indigné de cet attentat à la liberté du félin, en titrant, en une, « MIAOU-TRAGE » (MEOW’TRAGE). Matilda, comme ses prédécesseurs, reçoit régulièrement du courrier, possède sa propre chambre équipée d’une chatière, et un service en chambre, naturellement.
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Les temps sont durs pour Silvio Berlusconi : récemment chassé de son poste de chef du gouvernement, voilà que son dernier CD de chansons d’amour semble boudé des consommateurs italiens. Sorti la semaine dernière, L’amour vrai, dont il a écrit les paroles, est interprété par l’un de ses amis, le chanteur et guitariste napolitain Mariano Apicella. « Nous avons une copie dans l’entrepôt, mais je ne sais pas si et quand nous la mettrons dans les étagères », a déclaré le vendeur d’un magasin Feltrinelli dans le centre de Rome. « Personne ne l’a encore demandé, à part cinq journalistes », a-t-il ajouté. Le magasin Ricordi Media Store, situé dans la plus commerciale des rues du centre, Via del Corso, a affirmé avoir aussi une seule copie du CD, mais le vendeur ne le retrouvait plus sur les étagères. Pour autant, Mariano Apicella affirme que l’ex-président du Conseil, 75 ans, réputé pour ses frasques sexuelles qui lui valent notamment un procès pour prostitution de mineure, « ne va pas renoncer » à écrire des chansons d’amour. Il s’agit du quatrième CD réalisé par le chanteur napolitain avec Silvio Berlusconi, qui a travaillé dans sa jeunesse comme chanteur sur des bateaux de croisière.
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