Battu 1-0 à l’aller au Vélodrome sur un but dans le temps additionnel, l’Olympique de Marseille de Didier Deschamps se rend ce soir sur la pelouse d’Arsenal en Ligue des champions avec l’objectif de prendre, si ce n’est une revanche, au moins un point. Jean-Paul Pélissier/Reuters
Fort d’une confiance revenue après trois succès de rang toutes compétitions confondues, Marseille part défier Arsenal, ce soir en Ligue des champions, avec une idée de revanche.
Le club londonien est effectivement venu s’imposer 1-0 au stade Vélodrome lors du match aller sur un but inscrit dans les arrêts de jeu.
L’OM a ensuite retrouvé le goût de la victoire en enchaînant deux succès en Ligue 1 et un troisième en Coupe de la Ligue, dont le club est depuis deux ans le lauréat.
« La confiance passe par les victoires. On est sur une série, c’est bien pour les résultats et c’est bon pour le moral », glisse le défenseur Souleymane Diawara.
Après un début de saison chaotique, l’OM est remonté à la neuvième place du classement de L1, à 14 points du Paris Saint-Germain, le leader.
La qualité des trois derniers adversaires de l’OM, deux promus et un club de L2, n’a toutefois rien à voir avec ce qui attend les Marseillais en Angleterre.
Après un début de saison crispant, les Gunners ont repris des couleurs comme le prouve leur succès ce week-end chez leur voisin de Chelsea (5-3) .
Arsenal reste sur quatre victoires en cinq matches en Premier League, et sur huit succès en neuf rencontres toutes compétitions confondues.
L’OM en « Challenger »
Le club londonien, qui flirtait avec la zone rouge il y a quelques semaines, est remonté à la septième place du classement, à seulement trois points du troisième.
« Arsenal reste le favori logique de ce groupe, nous allons là-bas en challenger », aime répéter l’entraîneur de l’OM Didier Deschamps, qui avoue toutefois ne « pas avoir digéré » le but inscrit par Aaron Ramsey dans les arrêts de jeu du match aller.
Ce succès avait permis aux Gunners de prendre la tête du groupe F avec sept points, soit un de plus que leur adversaire marseillais.
L’Olympiakos est troisième avec trois points devant le Borussia Dortmund qui ferme la marche avec une seule unité au compteur.
Didier Deschamps aimerait donc bien rendre la monnaie de sa pièce à Arsenal, en prenant au moins un point sur l’un des terrains les mieux gardés d’Europe, où les Gunners sont invaincus depuis 11 rencontres.
Pire, le dernier revers d’Arsenal sur son terrain en phase de groupe de la Ligue des champions remonte au 17 septembre 2003 devant Milan (3-0). Ils ont depuis enchaîné 24 rencontres sans défaite, dont 20 succès, sur la pelouse d’Highbury puis de l’Emirates Stadium lors des phases de poules.
Marseille ne compte de son côté qu’une victoire, à Liverpool en 2007, en dix matches disputés en Angleterre.
©Reuters
Le club londonien est effectivement venu s’imposer 1-0 au stade Vélodrome lors du match aller sur un but inscrit dans les arrêts de jeu.
L’OM a ensuite retrouvé le goût de la victoire en enchaînant deux succès en Ligue 1 et un troisième en Coupe de la Ligue, dont le club est depuis deux ans le lauréat.
« La confiance passe par les victoires. On est sur une série, c’est bien pour les résultats et c’est bon pour le moral », glisse le défenseur Souleymane Diawara.
Après un début de saison chaotique, l’OM est remonté à la neuvième place du classement de L1, à 14 points du Paris Saint-Germain, le leader.
La qualité des trois derniers adversaires de l’OM, deux promus et un club de L2, n’a toutefois rien à voir avec ce qui attend les Marseillais en Angleterre.
Après un début de saison crispant, les Gunners ont repris des couleurs comme le prouve leur succès ce week-end chez leur voisin de Chelsea (5-3) .
Arsenal reste sur quatre victoires en cinq matches en Premier League, et sur huit succès en neuf rencontres toutes compétitions confondues.
L’OM en « Challenger »
Le club londonien, qui flirtait avec la zone rouge il y a quelques semaines, est remonté à la septième place du classement, à seulement trois points du troisième.
« Arsenal reste le favori logique de ce groupe, nous allons là-bas en challenger », aime répéter l’entraîneur de l’OM Didier Deschamps, qui avoue toutefois ne « pas avoir digéré » le but inscrit par Aaron Ramsey dans les arrêts de jeu du match aller.
Ce succès avait permis aux Gunners de prendre la tête du groupe F avec sept points, soit un de plus que leur adversaire marseillais.
L’Olympiakos est troisième avec trois points devant le Borussia Dortmund qui ferme la marche avec une seule unité au compteur.
Didier Deschamps aimerait donc bien rendre la monnaie de sa pièce à Arsenal, en prenant au moins un point sur l’un des terrains les mieux gardés d’Europe, où les Gunners sont invaincus depuis 11 rencontres.
Pire, le dernier revers d’Arsenal sur son terrain en phase de groupe de la Ligue des champions remonte au 17 septembre 2003 devant Milan (3-0). Ils ont depuis enchaîné 24 rencontres sans défaite, dont 20 succès, sur la pelouse d’Highbury puis de l’Emirates Stadium lors des phases de poules.
Marseille ne compte de son côté qu’une victoire, à Liverpool en 2007, en dix matches disputés en Angleterre.
©Reuters
Fort d’une confiance revenue après trois succès de rang toutes compétitions confondues, Marseille part défier Arsenal, ce soir en Ligue des champions, avec une idée de revanche.Le club londonien est effectivement venu s’imposer 1-0 au stade Vélodrome lors du match aller sur un but inscrit dans les arrêts de jeu.L’OM a ensuite retrouvé le goût de la victoire en enchaînant deux...
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