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Auto - Technologie

Conduire rien qu’avec son cerveau ?

Nissan étudie la question en collaboration avec un laboratoire suisse.
Le jeune homme sur la photo n’a pas les cheveux teintés et il ne porte pas de bigoudis. Ce qu’il a sur son crâne sont des électrodes qui mesurent et enregistrent son activité cérébrale, alors qu’il conduit une voiture sur un simulateur. Ce travail de recherche suit plusieurs objectifs dont le premier est la sécurité. Imaginons qu’il veuille tourner à gauche. Après l’avoir fait plusieurs fois dans différentes circonstances, l’ordinateur, qui enregistre son activité cérébrale, sera parvenu à distinguer l’activité cérébrale précise préalable au changement de direction. Cet ordinateur pourrait alors commander l’allumage du clignotant.
Pour aller plus loin, cette technologie pourrait aussi aider des personnes fortement handicapées et ne pouvant plus conduire normalement. Il serait en effet envisageable que ces personnes conduisent... par leur simple pensée, mais ce n’est pas pour tout de suite.
Nissan travaille sur le sujet en partenariat avec l’École polytechnique fédérale de Lausanne. Il ne faut rien en attendre sur quoi que ce soit qui puisse équiper une voiture de série avant plusieurs années, mais on imagine que dans toute situation d’urgence, améliorer l’interface cerveau-machine ne peut qu’être bénéfique.
Nissan étudie la question en collaboration avec un laboratoire suisse.Le jeune homme sur la photo n’a pas les cheveux teintés et il ne porte pas de bigoudis. Ce qu’il a sur son crâne sont des électrodes qui mesurent et enregistrent son activité cérébrale, alors qu’il conduit une voiture sur un simulateur. Ce travail de recherche suit plusieurs objectifs dont le premier est la...

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