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Moyen Orient et Monde

Affaire Zainab el-Hosni : Amnesty International demande à enquêter

La télévision publique syrienne a diffusé mercredi soir un entretien d’une jeune fille présentée comme Zainab el-Hosni pour démentir les informations sur la mort brutale de cette Syrienne devenue l’un des symboles de la répression sanglante exercée par le régime, et qui a été reconnue par sa famille, selon les organisations de défense des droits de l’homme Amnesty international (AI) et Human Rights Watch (HRW) dans un communiqué. L’identité de la victime enterrée par la famille el-Hosni demeure inconnue, et les deux organisations ont appelé à une enquête indépendante pour déterminer qui elle est, demandant de pouvoir se rendre en Syrie afin d’enquêter sur plusieurs cas suspects. Les deux organisations « regrettent cette erreur d’identification », affirmant que l’erreur est venue de la famille qui pensait effectivement avoir reconnu le corps de Zainab. Amnesty avait précédemment annoncé que la jeune fille avait été enlevée par des hommes en civil en juillet, apparemment pour faire pression sur son frère Mohammad pour qu’il se rende, et qui participait à l’organisation de manifestations à Homs.
Par ailleurs, la France a demandé « la libération immédiate » de la psychanalyste syrienne de renom Rafah Nached, emprisonnée depuis plus de trois semaines en Syrie, et s’est dit « choquée » par le refus des autorités syriennes de la libérer, a déclaré hier le ministère français des Affaires étrangères.
La télévision publique syrienne a diffusé mercredi soir un entretien d’une jeune fille présentée comme Zainab el-Hosni pour démentir les informations sur la mort brutale de cette Syrienne devenue l’un des symboles de la répression sanglante exercée par le régime, et qui a été reconnue par sa famille, selon les organisations de défense des droits de l’homme Amnesty international...
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