Le Bayern Munich, sur la lancée de neuf victoires consécutives, mettra à l’épreuve de ses ambitions européennes, en accueillant ce soir Manchester City, un adversaire affamé de reconnaissance, lors du 2e match de la phase de poules de la Ligue des champions.
« C’est probablement notre match le plus difficile de ce début de saison et les attentes sont très élevées, concède Bastian Schweinsteiger. On affronte une équipe avec des qualités et des individualités meilleures que nous. À nous de montrer que l’on est capable de faire jeu égal avec de telles équipes en Ligue des champions. »
Comme un appel à se transcender du vice-capitaine bavarois à tous ses partenaires qui, sur le papier, n’ont rien à envier en termes de qualité de jeu, de résultats et d’expérience au plus haut niveau. Qui plus est, avec le coach Jupp Heynckes, qui a déjà brandi la C1 en 1998 avec le Real Madrid.
Au fil des matches, le Bayern a montré une maîtrise de plus en plus solide de l’adversaire, qu’il soit allemand comme Leverkusen samedi (3-0) ou espagnol comme à Villarreal (2-0) en entrée de la C1. L’attaque a déjà claqué 26 buts et la défense est restée imperméable lors des neuf dernières sorties toutes compétitions confondues.
Note positive
Le Français Franck Ribéry est en pleine renaissance, Thomas Müller et Mario Gomez retrouvent leur niveau du Mondial 2010 (3e), Toni Kroos est devenu le deuxième poumon aux côtés de Schweinsteiger, Manuel Neuer dirige parfaitement la défense renouvelée. Même Arjen Robben, le vice-champion du monde néerlandais, a fait un retour tonitruant samedi en marquant un but en un quart d’heure de jeu.
Manchester City, qui a multiplié les chèques ces dernières saisons, vient à Munich sur une bonne note. Une victoire sur Everton (2-0) qui a permis aux « Citizens » de rejoindre ManU en tête de la Premier League, mettant fin à ce qui menaçait de devenir leur premier ralentissement après des débuts fulgurants.
Après une série de quatre victoires d’affilée avec pas moins de quinze buts, ils avaient en effet concédé deux nuls de rang : contre Naples (1-1), pour le premier match de Ligue des champions de leur histoire, puis en championnat à Fulham (2-2).
« La vérité, c’est que Naples a très bien joué contre nous, estime David Silva, la plaque tournante des
“Citizens”, qui pense toutefois inutile de changer de style pour la visite à Munich. »
Effectif étoffé
« Le Bayern est une grosse équipe. Mais on appliquera le même système : monopoliser le ballon et obtenir un résultat positif », assure le meilleur joueur du début de championnat. « Je pense qu’on peut les attaquer comme on le fait à la maison. On croit en notre jeu et on a confiance les uns envers les autres. »
Le secteur offensif des bleu ciel est parmi ce qui se fait de mieux en Europe depuis les arrivées en janvier du Bosniaque Edin Dzeko (6 buts cette saison) en provenance de Wolfsburg, puis cet été de l’Argentin de l’Atletico Madrid Sergio Agüero (8 buts) et du Français d’Arsenal Samir Nasri.
La défense est peut-être moins cotée sur le papier, avec des joueurs comme le Belge Vincent Kompany ou le jeune Anglais Micka Richards. Mais elle était la meilleure de Premier League la saison dernière, à égalité avec Chelsea, et a reçu à l’intersaison le renfort du Français d’Arsenal Gaël Clichy.
La grande force de Manchester City, c’est la richesse de son effectif. Si le onze de départ aligné par l’entraîneur Roberto Mancini fait rêver, le banc aussi. Exemple : samedi face à Everton on n’y trouvait que des internationaux, le Serbe Kolarov, l’Italien Balotelli, l’Anglais Milner et les Argentins Zabaleta et Tevez.
(Source : agences)
« C’est probablement notre match le plus difficile de ce début de saison et les attentes sont très élevées, concède Bastian Schweinsteiger. On affronte une équipe avec des qualités et des individualités meilleures que nous. À nous de montrer que l’on est capable de faire jeu égal avec de telles équipes en Ligue des champions. »
Comme un appel à se transcender du vice-capitaine bavarois à tous ses partenaires qui, sur le papier, n’ont rien à envier en termes de qualité de jeu, de résultats et d’expérience au plus haut niveau. Qui plus est, avec le coach Jupp Heynckes, qui a déjà brandi la C1 en 1998 avec le Real Madrid.
Au fil des matches, le Bayern a montré une maîtrise de plus en plus solide de l’adversaire, qu’il soit allemand comme Leverkusen samedi (3-0) ou espagnol comme à Villarreal (2-0) en entrée de la C1. L’attaque a déjà claqué 26 buts et la défense est restée imperméable lors des neuf dernières sorties toutes compétitions confondues.
Note positive
Le Français Franck Ribéry est en pleine renaissance, Thomas Müller et Mario Gomez retrouvent leur niveau du Mondial 2010 (3e), Toni Kroos est devenu le deuxième poumon aux côtés de Schweinsteiger, Manuel Neuer dirige parfaitement la défense renouvelée. Même Arjen Robben, le vice-champion du monde néerlandais, a fait un retour tonitruant samedi en marquant un but en un quart d’heure de jeu.
Manchester City, qui a multiplié les chèques ces dernières saisons, vient à Munich sur une bonne note. Une victoire sur Everton (2-0) qui a permis aux « Citizens » de rejoindre ManU en tête de la Premier League, mettant fin à ce qui menaçait de devenir leur premier ralentissement après des débuts fulgurants.
Après une série de quatre victoires d’affilée avec pas moins de quinze buts, ils avaient en effet concédé deux nuls de rang : contre Naples (1-1), pour le premier match de Ligue des champions de leur histoire, puis en championnat à Fulham (2-2).
« La vérité, c’est que Naples a très bien joué contre nous, estime David Silva, la plaque tournante des
“Citizens”, qui pense toutefois inutile de changer de style pour la visite à Munich. »
Effectif étoffé
« Le Bayern est une grosse équipe. Mais on appliquera le même système : monopoliser le ballon et obtenir un résultat positif », assure le meilleur joueur du début de championnat. « Je pense qu’on peut les attaquer comme on le fait à la maison. On croit en notre jeu et on a confiance les uns envers les autres. »
Le secteur offensif des bleu ciel est parmi ce qui se fait de mieux en Europe depuis les arrivées en janvier du Bosniaque Edin Dzeko (6 buts cette saison) en provenance de Wolfsburg, puis cet été de l’Argentin de l’Atletico Madrid Sergio Agüero (8 buts) et du Français d’Arsenal Samir Nasri.
La défense est peut-être moins cotée sur le papier, avec des joueurs comme le Belge Vincent Kompany ou le jeune Anglais Micka Richards. Mais elle était la meilleure de Premier League la saison dernière, à égalité avec Chelsea, et a reçu à l’intersaison le renfort du Français d’Arsenal Gaël Clichy.
La grande force de Manchester City, c’est la richesse de son effectif. Si le onze de départ aligné par l’entraîneur Roberto Mancini fait rêver, le banc aussi. Exemple : samedi face à Everton on n’y trouvait que des internationaux, le Serbe Kolarov, l’Italien Balotelli, l’Anglais Milner et les Argentins Zabaleta et Tevez.
(Source : agences)
Le Bayern Munich, sur la lancée de neuf victoires consécutives, mettra à l’épreuve de ses ambitions européennes, en accueillant ce soir Manchester City, un adversaire affamé de reconnaissance, lors du 2e match de la phase de poules de la Ligue des champions.« C’est probablement notre match le plus difficile de ce début de saison et les attentes sont très élevées,...
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