Depuis presque deux ans, Jo-Wilfried Tsonga n’avait pas goûté à la victoire. C’est désormais chose faite. Le Manceau s’est imposé en finale du tournoi ATP de Metz contre le Croate Ivan Ljubicic 6-3, 6-7 (4/7), 6-3. Il a conclu en trois sets et 2h36 une rencontre qui lui tendait les bras depuis la fin de deuxième manche, face au vainqueur de l’édition 2005. Mais la manière a tout de même été au rendez-vous, la tête de série n° 1 montrant une réelle domination sur son adversaire.
Il n’y a pas de petit profit. Jo-Wilfried Tsonga s’en est un peu plus rendu compte au lendemain du gain de son sixième titre ATP à Metz, son troisième gagné en France après Marseille en 2009 et surtout le Masters de Paris-Bercy en 2008. Après une année 2010 ponctuée par des blessures et deux finales perdues cette saison à Rotterdam et au Queen’s à Londres, sa victoire en Lorraine lui fait le plus grand bien au moral, surtout après deux ans de disette. Ce n’est certes qu’un tournoi minime par rapport à un Masters 1000, mais les 250 points gagnés lui permettent de faire un bond en avant.
En débloquant son compteur coincé depuis Tokyo en octobre 2009, voici Tsonga au 7e rang mondial. Un rang qu’il n’avait plus occupé depuis deux ans.
« Dans la course aux Masters je prends quelques points qui peuvent être précieux à la fin, c’est super », a déclaré l’ex-6e mondial qui retrouve l’étiquette de n° 1 français, perdue en novembre dernier au profit de Gaël Monfils.
Ce dernier, touché au genou après l’US Open, est 9e mondial à 90 points derrière, mais avec beaucoup de points à défendre en un mois et demi (un titre à Montpellier et deux finales à Tokyo et Bercy).
Face à Ivan Ljubicic lors de la finale messine, Tsonga a permis d’effacer toute sa frustration éprouvée en Coupe Davis sur la terre battue espagnole le week-end précédent.
Direction Chine
Absent trois mois l’an passé entre Wimbledon et la tournée en Asie, Tsonga a toutes les raisons de croire en une possible qualification en fin d’année pour la Masters Cup, qui regroupe les huit meilleurs joueurs mondiaux de la saison.
Mais les derniers tournois seront capitaux car une dizaine de joueurs peuvent encore prétendre comme lui à une place de choix : de Gaël Monfils à Gilles Simon, sans oublier l’Argentin Juan Martin Del Potro et l’Américain Andy Roddick, toujours mathématiquement en lice pour attraper les derniers billets en cas de bons parcours en Asie et lors des deux derniers Masters 1000 à jouer. D’après le classement Race calculé uniquement sur l’année, les quatre premiers joueurs mondiaux sont d’ores et déjà qualifiés. David Ferrer devrait être le prochain sur la liste.
Dès demain, le Français s’envolera à Pékin pour préparer ce tournoi 500 qui débutera le 3 octobre.
Ce rendez-vous lui permettra d’engranger de nouveaux points ATP s’il passe le 1er tour. Il sera aux côtés de Gaël Monfils, Gilles Simon, Richard Gasquet et vraisemblablement Novak Djokovic. Blessé au dos, le double tenant du titre pourrait finalement tenir son rang d’après les médias serbes. Après la tournée chinoise, ce ne sera que du bonus jusqu’à Paris où il était absent l’an dernier.
En débloquant son compteur coincé depuis Tokyo en octobre 2009, voici Tsonga au 7e rang mondial. Un rang qu’il n’avait plus occupé depuis deux ans.
« Dans la course aux Masters je prends quelques points qui peuvent être précieux à la fin, c’est super », a déclaré l’ex-6e mondial qui retrouve l’étiquette de n° 1 français, perdue en novembre dernier au profit de Gaël Monfils.
Ce dernier, touché au genou après l’US Open, est 9e mondial à 90 points derrière, mais avec beaucoup de points à défendre en un mois et demi (un titre à Montpellier et deux finales à Tokyo et Bercy).
Face à Ivan Ljubicic lors de la finale messine, Tsonga a permis d’effacer toute sa frustration éprouvée en Coupe Davis sur la terre battue espagnole le week-end précédent.
Direction Chine
Absent trois mois l’an passé entre Wimbledon et la tournée en Asie, Tsonga a toutes les raisons de croire en une possible qualification en fin d’année pour la Masters Cup, qui regroupe les huit meilleurs joueurs mondiaux de la saison.
Mais les derniers tournois seront capitaux car une dizaine de joueurs peuvent encore prétendre comme lui à une place de choix : de Gaël Monfils à Gilles Simon, sans oublier l’Argentin Juan Martin Del Potro et l’Américain Andy Roddick, toujours mathématiquement en lice pour attraper les derniers billets en cas de bons parcours en Asie et lors des deux derniers Masters 1000 à jouer. D’après le classement Race calculé uniquement sur l’année, les quatre premiers joueurs mondiaux sont d’ores et déjà qualifiés. David Ferrer devrait être le prochain sur la liste.
Dès demain, le Français s’envolera à Pékin pour préparer ce tournoi 500 qui débutera le 3 octobre.
Ce rendez-vous lui permettra d’engranger de nouveaux points ATP s’il passe le 1er tour. Il sera aux côtés de Gaël Monfils, Gilles Simon, Richard Gasquet et vraisemblablement Novak Djokovic. Blessé au dos, le double tenant du titre pourrait finalement tenir son rang d’après les médias serbes. Après la tournée chinoise, ce ne sera que du bonus jusqu’à Paris où il était absent l’an dernier.
Il n’y a pas de petit profit. Jo-Wilfried Tsonga s’en est un peu plus rendu compte au lendemain du gain de son sixième titre ATP à Metz, son troisième gagné en France après Marseille en 2009 et surtout le Masters de Paris-Bercy en 2008. Après une année 2010 ponctuée par des blessures et deux finales perdues cette saison à Rotterdam et au Queen’s à Londres, sa victoire...
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