Des inconnus ont inscrit des menaces de mort sur la porte du domicile d'une responsable du mouvement anticolonisation La Paix Maintenant dans la nuit de dimanche à lundi à Jérusalem, a-t-on appris de source policière.
En outre, des Palestiniens ont accusé lundi des colons israéliens d'avoir détruit plus de 160 pieds de vigne près de Hébron, dans le sud de la Cisjordanie.
"Mort aux traîtres" et "Migron, prix à payer", pouvait-on lire sur la porte du domicile de la militante, selon la police, en référence à la colonie sauvage de Migron, où des policiers et des soldats israéliens ont démoli trois habitations il y a une semaine.
Une enquête a été ouverte, a ajouté une porte-parole de la police, Louba Samri, rappelant que l'incident intervenait après après l'arrestation il y a quelques jours d'un jeune soldat qui avait proféré des menaces de mort à l'encontre du secrétaire général de La Paix Maintenant, Yariv Oppenheimer.
Le suspect, un soldat du contingent, a été libéré après avoir convaincu les policiers qu'il n'avait jamais envisagé de passer à l'acte.
M. Oppenheimer a lié ces menaces à d'autres agressions imputées en Cisjordanie à des colons, dans le cadre de leurs représailles systématiques contre toute atteinte à la colonisation.
"La multiplication des agressions prouve qu'on n'a plus simplement affaire à des individus isolés mais à un véritable groupe clandestin", a-t-il déclaré à l'AFP, accusant l'actuel gouvernement israélien (droite) d'entretenir "un climat de haine envers ses adversaires" et de créer ainsi un terreau propice aux agressions d'extrémistes.
A Halhoul, près de Hébron, Ahmad Aqel, propriétaire d'un vignoble, a déclaré à l'AFP que 165 pieds de vigne avaient été détruits durant la nuit lors d'un raid opéré, selon les services de sécurité palestiniens et des témoins, par des colons.
La police israélienne a confirmé que "des vignes" avaient été coupées.
La semaine dernière, trois mosquées ont été vandalisées en Cisjordanie et des voitures de Palestiniens incendiée lors d'attaques attribuées à des colons juifs. En outre, des véhicules de l'armée israélienne ont été attaqués dans une base en Cisjordanie, lors d'une attaque imputée aussi à des colons extrémistes.
En outre, des Palestiniens ont accusé lundi des colons israéliens d'avoir détruit plus de 160 pieds de vigne près de Hébron, dans le sud de la Cisjordanie.
"Mort aux traîtres" et "Migron, prix à payer", pouvait-on lire sur la porte du domicile de la militante, selon la police, en référence à la colonie sauvage de Migron, où des policiers et des soldats israéliens ont démoli trois habitations il y a une semaine.
Une enquête a été ouverte, a ajouté une porte-parole de la police, Louba Samri, rappelant que l'incident intervenait après après l'arrestation il y a quelques jours d'un jeune soldat qui avait proféré des menaces de mort à l'encontre du secrétaire général de La Paix Maintenant, Yariv Oppenheimer.
Le suspect, un soldat du contingent, a été libéré après avoir convaincu les policiers qu'il n'avait jamais envisagé de passer à l'acte.
M. Oppenheimer a lié ces menaces à d'autres agressions imputées en Cisjordanie à des colons, dans le cadre de leurs représailles systématiques contre toute atteinte à la colonisation.
"La multiplication des agressions prouve qu'on n'a plus simplement affaire à des individus isolés mais à un véritable groupe clandestin", a-t-il déclaré à l'AFP, accusant l'actuel gouvernement israélien (droite) d'entretenir "un climat de haine envers ses adversaires" et de créer ainsi un terreau propice aux agressions d'extrémistes.
A Halhoul, près de Hébron, Ahmad Aqel, propriétaire d'un vignoble, a déclaré à l'AFP que 165 pieds de vigne avaient été détruits durant la nuit lors d'un raid opéré, selon les services de sécurité palestiniens et des témoins, par des colons.
La police israélienne a confirmé que "des vignes" avaient été coupées.
La semaine dernière, trois mosquées ont été vandalisées en Cisjordanie et des voitures de Palestiniens incendiée lors d'attaques attribuées à des colons juifs. En outre, des véhicules de l'armée israélienne ont été attaqués dans une base en Cisjordanie, lors d'une attaque imputée aussi à des colons extrémistes.
Des inconnus ont inscrit des menaces de mort sur la porte du domicile d'une responsable du mouvement anticolonisation La Paix Maintenant dans la nuit de dimanche à lundi à Jérusalem, a-t-on appris de source policière.En outre, des Palestiniens ont accusé lundi des colons israéliens d'avoir détruit plus de 160 pieds de vigne près de Hébron, dans le sud de la Cisjordanie."Mort aux...
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