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Culture - Cinéma

Le Musée d’Orsay joue à se faire peur avec les films d’horreur anglais

Le Musée d'Orsay, à Paris, joue à se faire peur en choisissant l'horreur et particulièrement les films britanniques de la Hammer comme thème de son festival de cinéma jusqu'au 27 mars.
«Dans la nuit de la Hammer» propose de revisiter cette production à travers quinze films aux noms évocateurs: Le retour de Dracula, La revanche de Frankenstein, Les Vierges de Satan ou La Femme reptile...
La Hammer est cette société de production qui a assuré, dans les années soixante, le renouveau du fantastique en Angleterre, genre déjà populaire au XIXe siècle dans la littérature anglaise.
Spécialisée dans les films à petit budget, la Hammer a remporté de grands succès avec ses productions sur Dracula et Frankenstein, et s'est aussi illustrée dans l'adaptation des œuvres de Mary Shelley ou Robert Louis Stevenson.
«Le Hammer Touch, c'est un joyeux mélange libertaire et populaire, adepte d'un fantastique sexué où l'hémoglobine coule à flot», résument joliment les organisateurs du festival.
Les mordus pourront aussi assister à une conférence érudite le samedi 19: «La Hammer films, ou la naissance de la cinéphilie fantastique».
Le Musée d'Orsay, à Paris, joue à se faire peur en choisissant l'horreur et particulièrement les films britanniques de la Hammer comme thème de son festival de cinéma jusqu'au 27 mars.«Dans la nuit de la Hammer» propose de revisiter cette production à travers quinze films aux noms évocateurs: Le retour de Dracula, La revanche de Frankenstein, Les Vierges de Satan ou La Femme...

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