"Je pense que l'heure reste à la diplomatie et je continue de penser que des sanctions beaucoup plus actives pourraient forcer le régime iranien à y réfléchir à deux fois", a déclaré M. Barak lors de l'émission dominicale "GPS".
Le ministre de la Défense a toutefois ajouté qu'il était important que les Etats-Unis et les Européens "n'enlèvent aucune option de la table", à savoir l'option militaire, qui pourrait par exemple consister à tenter de détruire les sites nucléaires souterrains de l'Iran.
Le gouvernement iranien a toujours affirmé que son programme nucléaire était conçu uniquement à des fins civiles.
Quand on lui a demandé ce qu'Israël ferait si les sanctions échouaient, à savoir autoriser une attaque contre l'Iran, M. Barak s'est montré évasif.
"Je ne pense pas que nous ayons à répondre à ces questions", a-t-il dit.
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