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Harry Potter : « petits secrets de tournage »

1.Deux films pour
un livre.
Harry Potter et les reliques de la mort - partie 1 est l'adaptation du septième et dernier roman des aventures de l'apprenti sorcier. Afin de garantir un développement satisfaisant et une conclusion à la hauteur des attentes, il a été décidé de séparer ce septième film en deux épisodes. Il y aura donc huit films pour sept romans.

2. 3D ?
Les deux ultimes volets de la saga Harry Potter étant initialement prévus pour une sortie en 3D (une première pour les aventures du célèbre sorcier), ce ne sera finalement le cas que du dernier.

3. Les acteurs.
L'un des aspects les plus importants de ce septième volet réside dans les sentiments des trois personnages principaux. Leurs émotions, leurs peurs et leurs doutes font partie intégrante de l'aventure qu'ils vivent. « Dans ce film, leurs relations sont plus complexes que jamais. Et en les explorant en profondeur, Dan, Rupert et Emma offrent leur plus beau jeu », déclare David Heyman, producteur du film. « En tant que réalisateur, c'était passionnant de discuter avec eux parce que, parfois, j'avais l'impression que ce n'était pas avec l'acteur que je parlais, mais avec le personnage lui-même », confirme David Yates.

4. Sur le vif.
Pour la première partie de Harry Potter et les reliques de la mort, David Yates dit avoir filmé dans un style plus réaliste, souvent caméra à l'épaule, qui se rapprocherait presque du documentaire, de façon à rendre le mieux possible le rythme effréné du voyage entrepris par les trois héros.

5. Dans la nature !
Harry Potter 7 est le premier film de la saga qui ne se déroule pas à Poudlard. Les trois protagonistes sont confrontés au monde extérieur et l'ambiance générale, plus sombre que de coutume, s'en ressent.

6. Course-poursuite.
Entre balais, moto volante et Sombrals, la scène de course-poursuite en plein cœur de Londres ne fut pas une mince affaire. La partie qui se déroule dans le tunnel fut tournée à deux endroits différents, à savoir le tunnel Datford de Londres et le tunnel Mersey de Liverpool. Plusieurs motos furent utilisées et Greg Powell, coordinateur des cascades sur le film, a lui-même servi de doublure pour Hagrid.

7. À qui la baguette ?
Le fameux compositeur John Williams, à qui l'on doit la musique des trois premiers films, exprima son désir de composer celle de cet avant-dernier volet. C'est finalement le Français Alexandre Desplat qui fut choisi pour le film.

La boucle est bouclée.
Lorsque Harry est emmené loin de Privet Drive, il est escorté par le géant Hagrid qui le transporte dans le side-car de sa moto volante. C'est dans les mêmes circonstances qu'il était arrivé 16 ans plus tôt devant la porte de son oncle et sa tante, alors qu'il était encore bébé.
C'est non sans émotion que le tournage de ces ultimes volets s'est terminé. (Propos tirés de secrets de tournage d'Allo-ciné)