La justice iranienne a prononcé la « dissolution » définitive de deux partis de l'opposition réformatrice suspendus en avril, a annoncé hier le porte-parole de l'Autorité judiciaire. Le Front de la participation de l'Iran islamique (FPII) et l'Organisation des Moudjahidine de la révolution islamique (OMRI), qui regroupent des personnalités réformatrices proches de l'ex-président Mohammad Khatami, avaient été suspendus le 19 avril en attendant une décision judiciaire définitive.
Les autorités reprochaient à ces deux partis, engagés en faveur du candidat d'opposition réformatrice Mir Hossein Moussavi, lors de la présidentielle contestée de juin 2009, d'avoir enfreint « la loi (sur les activités des mouvements politiques), porté atteinte à l'unité nationale et tenté de créer des divisions au sein de la population ».
« Les deux partis n'ont plus le droit d'avoir aucune activité », a déclaré Gholam Hossein Mohseni Ejeie cité par l'agence ILNA. Le porte-parole n'a pas indiqué si ce jugement était susceptible d'appel.
Les autorités reprochaient à ces deux partis, engagés en faveur du candidat d'opposition réformatrice Mir Hossein Moussavi, lors de la présidentielle contestée de juin 2009, d'avoir enfreint « la loi (sur les activités des mouvements politiques), porté atteinte à l'unité nationale et tenté de créer des divisions au sein de la population ».
« Les deux partis n'ont plus le droit d'avoir aucune activité », a déclaré Gholam Hossein Mohseni Ejeie cité par l'agence ILNA. Le porte-parole n'a pas indiqué si ce jugement était susceptible d'appel.
La justice iranienne a prononcé la « dissolution » définitive de deux partis de l'opposition réformatrice suspendus en avril, a annoncé hier le porte-parole de l'Autorité judiciaire. Le Front de la participation de l'Iran islamique (FPII) et l'Organisation des Moudjahidine de la révolution islamique (OMRI), qui regroupent...
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