Tout en réaffirmant son "plein respect de la souveraineté iranienne" et en se défendant de toute "ingérence", M. Frattini a estimé que "seul un geste de clémence peut sauver la vie de cette personne", dans une déclaration à l'agence italienne Ansa.
Selon l'agence, outre "la campagne publique", la Farnesina (ministère italien des affaires étrangères), a déjà eu des contacts ces dernières semaines à ce sujet avec l'ambassade d'Iran à Rome.
M. Frattini s'est déclaré récemment disposé à rencontrer son homologue iranien Manouchehr Mottaki, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU qui se tient prochainement à New York.
Sakineh Mohammadi Ashtiani a été condamnée à mort par lapidation en 2006 pour adultère et complicité dans le meurtre de son mari.
Cette condamnation a déclenché une vaste campagne internationale pour éviter ce châtiment qui a été provisoirement suspendu.
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