« Le Barbier de Séville », l’opéra-bouffe de Rossini, les vendredi 5 et samedi 6 mars
OLJ / le 04 mars 2010 à 23h03
Le maestro Paolo Olmi.
Le Barbier de Séville, opéra de Gioacchino Rossini, est le premier d'une série d'une trentaine d'opéras interprétés encore aujourd'hui dans toutes les salles du monde. Le musicien, qui à douze ans composait ses premières sonates pour violons, violoncelle et contrebasse et recopiait à quinze ans les grands airs de Mozart, a écrit cet opéra en treize jours. Figaro, barbier de son état, aide le comte Almaviva à gagner le cœur de la belle Rosine, également convoitée par le docteur Bartolo. Ingénu, Figaro va déclencher un enchaînement de supercheries, quiproquos et confusions. Sous la baguette du chef d'orchestre Paolo Olmi, accompagné de Marco Berdondini à la harpe, l'Orchestre philharmonique libanais présente cette comédie en deux actes d'après le livret de Cesare Sterbini, créée en 1816 et tirée de la comédie de Beaumarchais. Un spectacle grandiose, mettant en scène la chorale de l'Université antonine et son directeur Toufic Maatouk, avec pour principaux interprètes: Francesca Provvisionato (mezzo soprano), Alessandro Luciano (ténor) et Alessandro Battiato (baryton).
Le Barbier de Séville, opéra de Gioacchino Rossini, est le premier d'une série d'une trentaine d'opéras interprétés encore aujourd'hui dans toutes les salles du monde. Le musicien, qui à douze ans composait ses premières sonates pour violons, violoncelle et contrebasse et recopiait à quinze ans les grands airs de Mozart, a...
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