Le sélectionneur de l'équipe de France Raymond Domenech, obligé d'ouvrir son groupe contre l'Espagne en raison des nombreuses blessures, a indiqué hier qu'il avait « fait le tour des joueurs français » même si « d'autres » pouvaient encore se révéler d'ici à la divulgation de la liste des 23 pour le Mondial, le 2 mai.
Q : Comment expliquez-vous le retour de Ben Arfa ?
R : « Hatem a du talent, il a des possibilités de faire partie de cette équipe, il est sur la liste, cela me paraît tout à fait logique. »
Q : Vieira paye-t-il son manque de compétition ?
R : « J'en ai discuté avec lui, il n'avait fait que deux matches entiers, il estimait que ce n'était pas suffisant, moi aussi. Il faut qu'il répète des matches et cela ne servait à rien de le jeter en pâture dans un match alors que lui-même estime qu'il n'est pas prêt. Mais il reste deux mois, à lui d'enchaîner les matches sans souci pour montrer qu'il a retrouvé son vrai niveau. »
Q : Ce match contre l'Espagne donne-t-il le vrai coup d'envoi du Mondial ?
R : « Il y a un parfum de Coupe du monde. On joue l'Espagne qui est l'une des grandes favorites, championne d'Europe. Ils ont plein d'ambitions. Cela donne une idée de ce que peut être une opposition en Coupe du monde, mais ce n'est pas "la" Coupe du monde. C'est un départ, mais il y aura encore des matches et une préparation. Le match va servir à se tester, à tester d'autres joueurs, à enfoncer le clou dans la tête de tous les joueurs : il y a la Coupe du monde qui arrive, ce n'est plus un rêve, c'est une réalité. »
Q : En savez-vous un peu plus sur la blessure de Benzema ?
R : « Apparemment, je dois en savoir un peu plus. Il est blessé mais je ne suis pas médecin, ni le Real Madrid. Je l'ai eu et je sais où il en est et qu'il n'est pas prêt pour ce match. »
Q : Cissé, absent de la liste, fait-il toujours partie des possibilités ?
R : « Oui, on l'a suivi, il fait partie des possibilités, mais encore une fois il y a des postes où il y a plus de monde que d'autres. Il était en concurrence avec Louis Saha qui est aussi performant en ce moment. Il fallait faire un choix. Cissé a le potentiel, c'est un problème de concurrence, je ne peux pas prendre 14 avant-centres. »
Q : Comment expliquer le choix de Rami ?
R : « Il fait partie de ceux qu'on suit depuis longtemps. Il a déjà été avec nous. Il joue la Coupe d'Europe et est performant avec son club. Il est toujours là. »
Q : Y aura-t-il beaucoup de tests contre l'Espagne ?
R : « En fonction de ce qui peut se dérouler dans le match, il y aura des possibilités de tester des formules, par obligation puis par choix. »
Q : La porte reste-t-elle ouverte à d'autres joueurs ?
R : « D'autres joueurs peuvent se révéler. Il peut y avoir des blessés. On a fait le tour des joueurs français, on ne va pas en découvrir 60, mais dire que ce sera exactement ces 28 ou 30 joueurs, je ne sais pas. Il reste encore deux mois de compétition. »
Q : Le retour de Ribéry est-il un soulagement ?
R : « Je ne suis pas sûr qu'il soit encore à 100 % de ses moyens, mais je suis content de le revoir. Qu'il revienne au plus haut niveau, mais pas tout de suite, qu'il attende encore un mois, ça m'ira très bien. »
Q : Peut-il jouer à gauche ?
R : « Cela reste une option, une possibilité. À gauche, dans l'axe, à droite, il fait partie de ces joueurs qui peuvent évoluer partout. C'est bien dans une grande compétition d'avoir une variété de choix. »
Q : La hiérarchie des gardiens n'a pas changé ?
R : « Le 3 (Carrasso, NDLR) ne passe pas encore devant le 2 (Mandanda, NDLR). Cela se joue à un museau près en faveur du 2 (rires). »
Q : Comment expliquez-vous le retour de Ben Arfa ?
R : « Hatem a du talent, il a des possibilités de faire partie de cette équipe, il est sur la liste, cela me paraît tout à fait logique. »
Q : Vieira paye-t-il son manque de compétition ?
R : « J'en ai discuté avec lui, il n'avait fait que deux matches entiers, il estimait que ce n'était pas suffisant, moi aussi. Il faut qu'il répète des matches et cela ne servait à rien de le jeter en pâture dans un match alors que lui-même estime qu'il n'est pas prêt. Mais il reste deux mois, à lui d'enchaîner les matches sans souci pour montrer qu'il a retrouvé son vrai niveau. »
Q : Ce match contre l'Espagne donne-t-il le vrai coup d'envoi du Mondial ?
R : « Il y a un parfum de Coupe du monde. On joue l'Espagne qui est l'une des grandes favorites, championne d'Europe. Ils ont plein d'ambitions. Cela donne une idée de ce que peut être une opposition en Coupe du monde, mais ce n'est pas "la" Coupe du monde. C'est un départ, mais il y aura encore des matches et une préparation. Le match va servir à se tester, à tester d'autres joueurs, à enfoncer le clou dans la tête de tous les joueurs : il y a la Coupe du monde qui arrive, ce n'est plus un rêve, c'est une réalité. »
Q : En savez-vous un peu plus sur la blessure de Benzema ?
R : « Apparemment, je dois en savoir un peu plus. Il est blessé mais je ne suis pas médecin, ni le Real Madrid. Je l'ai eu et je sais où il en est et qu'il n'est pas prêt pour ce match. »
Q : Cissé, absent de la liste, fait-il toujours partie des possibilités ?
R : « Oui, on l'a suivi, il fait partie des possibilités, mais encore une fois il y a des postes où il y a plus de monde que d'autres. Il était en concurrence avec Louis Saha qui est aussi performant en ce moment. Il fallait faire un choix. Cissé a le potentiel, c'est un problème de concurrence, je ne peux pas prendre 14 avant-centres. »
Q : Comment expliquer le choix de Rami ?
R : « Il fait partie de ceux qu'on suit depuis longtemps. Il a déjà été avec nous. Il joue la Coupe d'Europe et est performant avec son club. Il est toujours là. »
Q : Y aura-t-il beaucoup de tests contre l'Espagne ?
R : « En fonction de ce qui peut se dérouler dans le match, il y aura des possibilités de tester des formules, par obligation puis par choix. »
Q : La porte reste-t-elle ouverte à d'autres joueurs ?
R : « D'autres joueurs peuvent se révéler. Il peut y avoir des blessés. On a fait le tour des joueurs français, on ne va pas en découvrir 60, mais dire que ce sera exactement ces 28 ou 30 joueurs, je ne sais pas. Il reste encore deux mois de compétition. »
Q : Le retour de Ribéry est-il un soulagement ?
R : « Je ne suis pas sûr qu'il soit encore à 100 % de ses moyens, mais je suis content de le revoir. Qu'il revienne au plus haut niveau, mais pas tout de suite, qu'il attende encore un mois, ça m'ira très bien. »
Q : Peut-il jouer à gauche ?
R : « Cela reste une option, une possibilité. À gauche, dans l'axe, à droite, il fait partie de ces joueurs qui peuvent évoluer partout. C'est bien dans une grande compétition d'avoir une variété de choix. »
Q : La hiérarchie des gardiens n'a pas changé ?
R : « Le 3 (Carrasso, NDLR) ne passe pas encore devant le 2 (Mandanda, NDLR). Cela se joue à un museau près en faveur du 2 (rires). »
Le sélectionneur de l'équipe de France Raymond Domenech, obligé d'ouvrir son groupe contre l'Espagne en raison des nombreuses blessures, a indiqué hier qu'il avait « fait le tour des joueurs français » même si « d'autres » pouvaient encore se révéler d'ici à la divulgation de...
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