Rechercher
Rechercher

Liban - France

Trois mois requis contre Georges Abdallah pour refus de prélèvement d'ADN

Une peine de trois mois de prison a été requise jeudi devant le cour d'appel de Pau à l'encontre du Libanais Georges Ibrahim Abdallah, qui purge depuis 25 ans en France une peine de réclusion à perpétuité pour complicité d'assassinats, pour avoir refusé un prélèvement ADN.

Georges Ibrahim Abdallah, 58 ans, ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises, a été arrêté le 24 octobre 1984 et condamné à la réclusion à perpétuité en février 1987 pour complicité dans les assassinats en 1982 à Paris de deux diplomates, l'Américain Charles Robert Day et l'Israélien Yacov Barsimantov. Il est détenu à la prison de Lannemezan (Hautes-Pyrénées).

Le procureur général a demandé la même peine que celle à laquelle M. Abdallah avait été condamné en première instance, le 1er décembre, par le tribunal de grande instance de Tarbes. La cour d'appel rendra sa décision le 1er avril.

Une cinquantaine de personnes s'étaient rassemblées devant le tribunal pour manifester leur soutien à l'accusé qui, à l'audience, a affirmé avoir déjà donné son ADN en 2003.

Georges Ibrahim Abdallah, 58 ans, ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises, a été arrêté le 24 octobre 1984 et condamné à la réclusion à perpétuité en février 1987 pour complicité dans les assassinats en 1982 à Paris de deux diplomates, l'Américain Charles Robert Day et l'Israélien Yacov Barsimantov. Il est détenu à la prison de Lannemezan (Hautes-Pyrénées).

Le 5 mai 2009, la cour d'appel de Paris avait rejeté la demande de libération conditionnelle du détenu, qualifié d'"activiste résolu et implacable" risquant de reprendre son combat révolutionnaire en cas d'expulsion vers le Liban.


Le procureur général a demandé la même peine que celle à laquelle M. Abdallah avait été condamné en première instance, le 1er décembre, par le tribunal de grande instance de Tarbes. La cour d'appel rendra sa décision le 1er avril.
Une cinquantaine de personnes s'étaient rassemblées devant le...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut