« J'arrive entier et sur mes deux jambes » : le Savoyard Julien Lizeroux a ainsi synthétisé son baptême sur la Streif, hier, lors du 1er entraînement de la descente de ski alpin de Kitzbühel.
« Je ne me suis pas fait peur. Mais il faut beaucoup de concentration, d'implication, et ça demande beaucoup d'énergie, physique et mentale », a souligné le double vice-champion du monde (supercombiné et slalom).
« Juju », rasé de frais, était donc satisfait pour une prise de contact conclue à la 50e place, à plus de cinq secondes du Suisse Didier Cuche.
« Je suis descendu avec une attitude tranquille. J'ai aussi bénéficié de bonnes conditions (soleil et visibilité parfaite, NDLR), ce qui n'est pas le cas tous les ans », a indiqué le blond skieur de La Plagne, vainqueur il y a dix jours du slalom d'Adelboden (Suisse).
Si Lizeroux, 30 ans, s'attaque tardivement à la Streif, c'est qu'il veut cette année tenter sa chance dans le combiné classique, le dernier existant sur le circuit, dont le classement est l'addition des temps de la descente et des deux manches du slalom. Ce format ancien est favorable aux spécialistes des portes serrées quand le supercombiné (une descente et une manche de slalom) avantage ceux de la vitesse.
« Je ne me suis pas fait peur. Mais il faut beaucoup de concentration, d'implication, et ça demande beaucoup d'énergie, physique et mentale », a souligné le double vice-champion du monde (supercombiné et slalom).
« Juju », rasé de frais, était donc satisfait pour une prise de contact conclue à la 50e place, à plus de cinq secondes du Suisse Didier Cuche.
« Je suis descendu avec une attitude tranquille. J'ai aussi bénéficié de bonnes conditions (soleil et visibilité parfaite, NDLR), ce qui n'est pas le cas tous les ans », a indiqué le blond skieur de La Plagne, vainqueur il y a dix jours du slalom d'Adelboden (Suisse).
Si Lizeroux, 30 ans, s'attaque tardivement à la Streif, c'est qu'il veut cette année tenter sa chance dans le combiné classique, le dernier existant sur le circuit, dont le classement est l'addition des temps de la descente et des deux manches du slalom. Ce format ancien est favorable aux spécialistes des portes serrées quand le supercombiné (une descente et une manche de slalom) avantage ceux de la vitesse.
« J'arrive entier et sur mes deux jambes » : le Savoyard Julien Lizeroux a ainsi synthétisé son baptême sur la Streif, hier, lors du 1er entraînement de la descente de ski alpin de Kitzbühel.« Je ne me suis pas fait peur. Mais il faut beaucoup de concentration, d'implication, et ça demande beaucoup d'énergie,...
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