« Je suis bien devant. Il y a aussi l'expérience qui compte », a souligné le Neufchâtelois de 35 ans, sept fois sur le podium au bas de la Streif, dont deux fois sur la plus haute marche en descente (1998/2008).
« Avec une neige pas aussi dure que d'habitude, mais aussi une météo et une visibilité parfaites, on s'est fait plaisir. C'est un peu surprenant tellement les skis ont du rayon dans les virages », a expliqué le Romand, vice-champion du monde de la discipline.
Leader du classement général de la Coupe du monde, son compatriote Carlo Janka, lauréat samedi dernier de la descente de Wengen (Suisse), a skié « à sa main » (29e à 3 sec 22). En 2009, pour sa première année à Kitzbühel, le Grison avait terminé 20e de la descente après avoir hésité à prendre le départ. Il était sous le coup du grave accident survenu à son partenaire et copain de chambre Daniel Albrecht, tombé lourdement lors du 2e entraînement.
Le second entraînement, aujourd'hui, a été avancé à 09h00 GMT pour anticiper une perturbation, ont indiqué les organisateurs.
L'étape de Kitzbühel comporte un Super-G demain, une descente, programmée samedi, et un slalom dominical. Le classement du combiné classique est calculé par l'addition des temps de la descente et des deux manches de slalom.
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