Youssef et Nadine dans un kaléidoscope géant
Au Ballroom de l'hôtel Phoenicia, une grande dabké en guise de zaffé, un magnifique spectacle de danse ukrainienne, une prestation de la chanteuse américaine Giselle Jackson, un show des frères Shéhadé, le gâteau jaillissant d'un gigantesque œuf façon Fabergé et les bouchons du champagne qui sautent : voilà les moments forts du mégamariage de Youssef Nehmé Tohmé et de la ravissante Nadine Ramez Sarkis. La soirée, où les femmes rivalisaient d'élégance et arboraient bien sûr leurs plus beaux bijoux, a été une explosion kaléidoscopique de sons et d'images qui se sont enchaînés à la grande joie des 600 invités, parmi lesquels la Première dame Wafa' Sleiman, Fouad et Hoda Siniora, Élias el-Murr, Walid et Nora Joumblatt, Charles et Nayla Rizk, Boutros et Marlène Harb, Adnane Kassar, Rizk Rizk et Danièle Trad. Michel et Mona Pharaon étaient les grands absents : deux heures plus tôt, en sortant de la cérémonie religieuse, le ministre a fait une chute sur les escaliers de l'archevêché grec-catholique et a été transporté à l'hôpital.
La vita è vraiment bella
Pas de régime au pain sec non plus pour Khalil el-Arab (frère du responsable de la sécurité de Saad Hariri et son garde du corps rapproché) et son épouse Alia (habillée par le couturier des stars Élie Saab) qui ont offert un dîner pour trois cents personnes à l'Eau de Vie, où la liesse a frisé l'hystérie dès l'apparition de Ragheb Alamé suivi de Nancy Ajram, qui ont animé avec brio la soirée. Étaient notamment présents Ahmad et Lama Hariri, Ghida Hariri (en solo, sans son mari Nader), Guida Rabbat, Arzé Jammal (un gros caillou en forme de cœur pendu à son cou), le chirurgien plastique des poitrines le plus prisé de la République Tarek Hussami, Mr Panadol Oussama Dandan, le grand entrepreneur Jamil Ibrahim, le richissime homme d'affaires Mohammad Zeidan, le vice-président de Solidere Mounir Doueidi, et leurs épouses mais aussi la très belle, un cran au-dessus des autres, Diala Shoucair...
Un problème toutefois : quoi imaginer encore pour le réveillon de la Saint-Sylvestre ? Hein ? Quoi ?
La générosité en bel canto
C'est au BIEL que le Children Cancer Center of Lebanon (CCCL) a donné son dîner de gala annuel. Quelque 700 invités ont répondu présents à cette opération de levée de fonds, ponctuée par un documentaire sur le centre et animée par le chœur des Enfants à la croix de bois et un spectacle de bel canto offert par le comte de M., où ténors et sopranos qui font le bonheur du 72, quai de l'Hôtel de Ville, à Paris, se sont mis en scène entre les tables pour chanter des extraits d'air d'opéra. Dommage toutefois que la mauvaise acoustique ait gâché le plaisir et hyperagacé les tympans. Mais tout cela a vite été oublié, grâce aux bonnes actions des parrains de la soirée : la marque de voiture Mazda, les joailliers Robert Mouawad, Nassib Gemayel et Nada Le Cavelier, ainsi que Sarah's Bag. La Mazda décrochée par Farouk Jabre, membre du comité exécutif du CCCL, a été gracieusement rendue par le gagnant et mise aux enchères permettant ainsi de recueillir 37 000 dollars. Que c'est joli, Noël : tout le monde est gentil.
So chic, so glam, so forever...
La ville est en ébullition. Du fun, du glam, de la légèreté et encore et toujours du plaisir ! Et du rêve, du rêve, bien sûr, : c'est ce que nous offre Beyrouth, capitale du bon vivre, en cette période de fêtes. Entre la fureur du jour et la fièvre nocturne, les dîners et les mariages, les vernissages et signature d'ouvrages, les inaugurations de boutiques et les concerts, les agendas sont surbookés. Revendiquant sa place dans les nouveaux souks, la ûber-glamour Sherine Moghraby Tayeb a inauguré en grande pompe sa boutique de lunettes so sparkle et very fashion. Très futée, Hala Tayah a ciselé un nouveau message de paix et de tolérance : après le collier « Keep Lebanon Close to Your Heart » qui avait remporté un vif succès (série limitéé à 10 452 pièces) notre bijoutière a ouvert son espace à la rue Sursock et lancé une nouvelle création : une chaîne en or rose sertie de diamants représentant la croix ; et une autre en or blanc déclinant un croissant tout autant serti ; à porter séparément ou ensemble... Les mariages mixtes ont osé, semble-t-il ! Les lecteurs se sont aussi pâmés devant l'article paru dans le New York Times et The International Herald Tribune vantant les mérites de Sélim Mouzannar et de Ranya Sarakbi. Ils ont découvert le pied-à-terre parisien de Joe Achkar et Michel Charrière, qui s'étale sur huit bonnes pages dans Point de vue : l'hôtel de Gesvres, autrefois occupé par la Pompadour mais aussi par Antoine de Sartines, ministre de la Marine de Louis XVI, est un somptueux palais réalisé par l'architecte du roi en 1660 ! CNN a placé beyrouth n° 3 après NY et Tokyo pour les meilleures décorations de Noël.
Au Ballroom de l'hôtel Phoenicia, une grande dabké en guise de zaffé, un magnifique spectacle de danse ukrainienne, une prestation de la chanteuse américaine Giselle Jackson, un show des frères Shéhadé, le gâteau jaillissant d'un gigantesque œuf façon Fabergé et les bouchons du champagne qui sautent : voilà les moments forts du mégamariage de Youssef Nehmé Tohmé et de la ravissante Nadine Ramez Sarkis. La soirée, où les femmes rivalisaient d'élégance et arboraient bien sûr leurs plus beaux bijoux, a été une explosion kaléidoscopique de sons et d'images qui se sont enchaînés à la grande joie des 600 invités, parmi lesquels la Première dame Wafa' Sleiman, Fouad et Hoda Siniora, Élias el-Murr, Walid et Nora Joumblatt, Charles et Nayla Rizk, Boutros et Marlène Harb, Adnane Kassar, Rizk Rizk et Danièle Trad. Michel et Mona Pharaon étaient les grands absents : deux heures plus tôt, en sortant de la cérémonie religieuse, le ministre a fait une chute sur les escaliers de l'archevêché grec-catholique et a été transporté à l'hôpital.
La vita è vraiment bella
Pas de régime au pain sec non plus pour Khalil el-Arab (frère du responsable de la sécurité de Saad Hariri et son garde du corps rapproché) et son épouse Alia (habillée par le couturier des stars Élie Saab) qui ont offert un dîner pour trois cents personnes à l'Eau de Vie, où la liesse a frisé l'hystérie dès l'apparition de Ragheb Alamé suivi de Nancy Ajram, qui ont animé avec brio la soirée. Étaient notamment présents Ahmad et Lama Hariri, Ghida Hariri (en solo, sans son mari Nader), Guida Rabbat, Arzé Jammal (un gros caillou en forme de cœur pendu à son cou), le chirurgien plastique des poitrines le plus prisé de la République Tarek Hussami, Mr Panadol Oussama Dandan, le grand entrepreneur Jamil Ibrahim, le richissime homme d'affaires Mohammad Zeidan, le vice-président de Solidere Mounir Doueidi, et leurs épouses mais aussi la très belle, un cran au-dessus des autres, Diala Shoucair...
Un problème toutefois : quoi imaginer encore pour le réveillon de la Saint-Sylvestre ? Hein ? Quoi ?
La générosité en bel canto
C'est au BIEL que le Children Cancer Center of Lebanon (CCCL) a donné son dîner de gala annuel. Quelque 700 invités ont répondu présents à cette opération de levée de fonds, ponctuée par un documentaire sur le centre et animée par le chœur des Enfants à la croix de bois et un spectacle de bel canto offert par le comte de M., où ténors et sopranos qui font le bonheur du 72, quai de l'Hôtel de Ville, à Paris, se sont mis en scène entre les tables pour chanter des extraits d'air d'opéra. Dommage toutefois que la mauvaise acoustique ait gâché le plaisir et hyperagacé les tympans. Mais tout cela a vite été oublié, grâce aux bonnes actions des parrains de la soirée : la marque de voiture Mazda, les joailliers Robert Mouawad, Nassib Gemayel et Nada Le Cavelier, ainsi que Sarah's Bag. La Mazda décrochée par Farouk Jabre, membre du comité exécutif du CCCL, a été gracieusement rendue par le gagnant et mise aux enchères permettant ainsi de recueillir 37 000 dollars. Que c'est joli, Noël : tout le monde est gentil.
So chic, so glam, so forever...
La ville est en ébullition. Du fun, du glam, de la légèreté et encore et toujours du plaisir ! Et du rêve, du rêve, bien sûr, : c'est ce que nous offre Beyrouth, capitale du bon vivre, en cette période de fêtes. Entre la fureur du jour et la fièvre nocturne, les dîners et les mariages, les vernissages et signature d'ouvrages, les inaugurations de boutiques et les concerts, les agendas sont surbookés. Revendiquant sa place dans les nouveaux souks, la ûber-glamour Sherine Moghraby Tayeb a inauguré en grande pompe sa boutique de lunettes so sparkle et very fashion. Très futée, Hala Tayah a ciselé un nouveau message de paix et de tolérance : après le collier « Keep Lebanon Close to Your Heart » qui avait remporté un vif succès (série limitéé à 10 452 pièces) notre bijoutière a ouvert son espace à la rue Sursock et lancé une nouvelle création : une chaîne en or rose sertie de diamants représentant la croix ; et une autre en or blanc déclinant un croissant tout autant serti ; à porter séparément ou ensemble... Les mariages mixtes ont osé, semble-t-il ! Les lecteurs se sont aussi pâmés devant l'article paru dans le New York Times et The International Herald Tribune vantant les mérites de Sélim Mouzannar et de Ranya Sarakbi. Ils ont découvert le pied-à-terre parisien de Joe Achkar et Michel Charrière, qui s'étale sur huit bonnes pages dans Point de vue : l'hôtel de Gesvres, autrefois occupé par la Pompadour mais aussi par Antoine de Sartines, ministre de la Marine de Louis XVI, est un somptueux palais réalisé par l'architecte du roi en 1660 ! CNN a placé beyrouth n° 3 après NY et Tokyo pour les meilleures décorations de Noël.
ditavonbliss@hotmail.com
Youssef et Nadine dans un kaléidoscope géant Au Ballroom de l'hôtel Phoenicia, une grande dabké en guise de zaffé, un magnifique spectacle de danse ukrainienne, une prestation de la chanteuse américaine Giselle Jackson, un show des frères Shéhadé, le gâteau jaillissant d'un gigantesque œuf façon...
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