Au Mojo Club, rue Hamra, Slam Allen emporte ses auditeurs dans les champs du Delta avec sa puissante voix de «Gospel Singer» et ses «riffs» de guitare jusqu'au samedi 21 novembre...
Slam Allen est un «one-man blues show» à lui seul ! Il faut dire que l'artiste a été carrément vacciné au blues, genre musical toujours présent chez les Allen, comme un véritable membre de la famille, transmis de génération en génération, depuis des décennies. Tout comme l'accent sudiste avec lequel Slam Allen accueille son audience chaque soir, lançant son «How are "ya"ll tonite», cette phrase sort du fin fond du sud des States... et du fin fond de son cœur.
Slam Allen chante le blues, mais il est tout aussi à l'aise dans tout le spectre musical afro-américain: soul, R&B, funk et même hip-hop. «Je suis avant tout un "entertainer", aime-t-il à répéter. Je joue de la musique, tous les genres de musique. Pas seulement le blues. Mon boulot est de rendre le public heureux, et j'accomplis mon travail à la perfection.» Ce n'est pas pour rien que, dans le milieu du jazz new-yorkais, on l'a surnommé The Working Man...
Allen reste en fin de compte un chanteur de soul, un guitariste de blues qui préfère le doux feeling et le groove au jeu de cordes flamboyant. Ses couleurs? Il les annonce d'emblée sur son répondeur: «Souvenez-vous. Il n'y a ni blanc ni noir. Seulement le blues.»
Réservations au 70/796279.
Slam Allen est un «one-man blues show» à lui seul ! Il faut dire que l'artiste a été carrément vacciné au blues, genre musical toujours présent chez les Allen, comme un véritable membre de la famille, transmis de génération en génération, depuis des décennies. Tout comme l'accent sudiste avec lequel Slam Allen accueille son audience chaque soir, lançant son «How are "ya"ll tonite», cette phrase sort du fin fond du sud des States... et du fin fond de son cœur.
Slam Allen chante le blues, mais il est tout aussi à l'aise dans tout le spectre musical afro-américain: soul, R&B, funk et même hip-hop. «Je suis avant tout un "entertainer", aime-t-il à répéter. Je joue de la musique, tous les genres de musique. Pas seulement le blues. Mon boulot est de rendre le public heureux, et j'accomplis mon travail à la perfection.» Ce n'est pas pour rien que, dans le milieu du jazz new-yorkais, on l'a surnommé The Working Man...
Allen reste en fin de compte un chanteur de soul, un guitariste de blues qui préfère le doux feeling et le groove au jeu de cordes flamboyant. Ses couleurs? Il les annonce d'emblée sur son répondeur: «Souvenez-vous. Il n'y a ni blanc ni noir. Seulement le blues.»
Réservations au 70/796279.
Au Mojo Club, rue Hamra, Slam Allen emporte ses auditeurs dans les champs du Delta avec sa puissante voix de «Gospel Singer» et ses «riffs» de guitare jusqu'au samedi 21 novembre...Slam Allen est un «one-man blues show» à lui seul ! Il faut dire que l'artiste a été carrément vacciné au blues, genre musical toujours...
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