Dans un éditorial publié par la revue Hadith al-Malia qui est éditée par l'Institut des finances, le ministre sortant des Finances, Mohammad Chatah, a indiqué que « depuis 2005, les projets de budgets s'accumulent au Parlement sans être adoptés en raison des circonstances politiques difficiles et des crises successives au niveau du pouvoir ».
« Bien que le projet de budget 2009 demeure en suspens depuis des mois, le ministère des Finances s'est lancé dans les préparatifs de mise au point du budget 2010, a-t-il dit. Des efforts soutenus ont été déployés au niveau administratif par toutes les agences de l'État afin d'évaluer le projet de budget 2010 conformément aux plans d'action et besoins de chaque administration, sur la base de leurs dépenses effectives de l'année précédente. Le ministère des Finances a ainsi construit le cadre théorique au budget 2010, en attendant de passer le flambeau au prochain gouvernement. »
Le ministre Chatah a considéré que le projet de budget doit émaner d'une vision économique et financière claire, affirmant espérer qu'il sera adopté par le nouveau gouvernement comme un outil de base reflétant les grandes politiques économiques et sociales de l'Exécutif. En effet, a-t-il rappelé, le budget 2010 doit exprimer l'orientation du gouvernement en matière de réformes socioéconomiques, financières et administratives, et servir les objectifs d'amélioration du service public et d'efficacité des dépenses.
« Le budget est, pour tous, le document qui concrétise les politiques gouvernementales en leur définissant des objectifs précis et en les plaçant ainsi dans un cadre financier et temporel bien défini », a-t-il fait valoir. Il a estimé que lors de l'élaboration des projets de budget, et pour une meilleure performance gouvernementale, les administrations publiques sont appelées à prendre en considération les objectifs définis par le gouvernement dans sa feuille de route ainsi que les répercussions de ces mesures sur leur budget.
« Bien que le projet de budget 2009 demeure en suspens depuis des mois, le ministère des Finances s'est lancé dans les préparatifs de mise au point du budget 2010, a-t-il dit. Des efforts soutenus ont été déployés au niveau administratif par toutes les agences de l'État afin d'évaluer le projet de budget 2010 conformément aux plans d'action et besoins de chaque administration, sur la base de leurs dépenses effectives de l'année précédente. Le ministère des Finances a ainsi construit le cadre théorique au budget 2010, en attendant de passer le flambeau au prochain gouvernement. »
Le ministre Chatah a considéré que le projet de budget doit émaner d'une vision économique et financière claire, affirmant espérer qu'il sera adopté par le nouveau gouvernement comme un outil de base reflétant les grandes politiques économiques et sociales de l'Exécutif. En effet, a-t-il rappelé, le budget 2010 doit exprimer l'orientation du gouvernement en matière de réformes socioéconomiques, financières et administratives, et servir les objectifs d'amélioration du service public et d'efficacité des dépenses.
« Le budget est, pour tous, le document qui concrétise les politiques gouvernementales en leur définissant des objectifs précis et en les plaçant ainsi dans un cadre financier et temporel bien défini », a-t-il fait valoir. Il a estimé que lors de l'élaboration des projets de budget, et pour une meilleure performance gouvernementale, les administrations publiques sont appelées à prendre en considération les objectifs définis par le gouvernement dans sa feuille de route ainsi que les répercussions de ces mesures sur leur budget.
Dans un éditorial publié par la revue Hadith al-Malia qui est éditée par l'Institut des finances, le ministre sortant des Finances, Mohammad Chatah, a indiqué que « depuis 2005, les projets de budgets s'accumulent au Parlement sans être adoptés en raison des circonstances politiques difficiles et des crises successives au...
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