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Insulter son chef n'est pas un motif  de licenciement
Traiter son chef de « fils de p... » n'est pas un motif de licenciement, car cette expression est devenue d'un « usage courant », a décidé un tribunal catalan dont les attendus sont publiés par le quotidien El Mundo. La chambre sociale du Tribunal supérieur de justice de Catalogne a ordonné la réintégration d'un employé limogé pour avoir ainsi insulté le gérant de son entreprise, ou à défaut le paiement d'une indemnité de quelque 6 500 euros, précise le quotidien de centre-droite. Tout en qualifiant l'attitude de l'employé de répréhensible, les juges ont estimé qu'il fallait tenir compte du « contexte » de tension dans l'entreprise, mais aussi de l'actuelle « dégradation sociale du langage », qui a rendu ce type d'insulte « d'un usage courant au cours de discussions ». De multiples commentaires de particuliers publiés sur le site d'El Mundo critiquaient cette décision, notant que si le gérant avait injurié de la même façon les juges après la sentence, il aurait été poursuivi et condamné.

Casse-tête sur le tirage des mêmes chiffres à la loterie bulgare
Le ministre des Sports bulgare, Svilen Neïkov, a lancé hier une enquête sur la coïncidence étonnante du tirage des mêmes six chiffres à la loterie nationale deux semaines d'affilée. La probabilité d'une telle coïncidence est 1 pour 4,2 millions, a déclaré le mathématicien Mikhaïl Konstantinov, admettant que cela « peut tout de même se produire ». Les chiffres 4, 15, 23, 24, 35 et 42 tirés devant les caméras de la télévision et une commission indépendante le 6 septembre dernier l'ont été à nouveau, mais dans un autre ordre, quatre jours plus tard. Par ailleurs, trois de ces chiffres sont à nouveau apparus gagnants au tirage suivant. Interrogée par le journal 24 Tchassa, la vice-présidente de la loterie bulgare, Maria Yaneva, a « exclu une manipulation du tirage ». Personne n'avait coché ces chiffres au tirage du 6 septembre. En revanche, lors du tirage suivant, au total 18 personnes avaient misé sur les six mêmes chiffres.

Le port de masques antigrippe interdit en Bolivie pour éviter des hold-up
Des caisses d'épargne boliviennes ont interdit à leurs clients de porter des masques dans leurs locaux, afin de juguler une épidémie de vols perpétrés par des personnes profitant de l'alerte à la grippe H1N1 pour camoufler leur identité. « Nous avons décidé que seul le personnel de permanence pourrait porter des masques, tandis que les clients ne pourront plus entrer avec des masques », a expliqué le président de la Fédération des caisses d'épargne de la ville de Santa Cruz, Hoggier Hurtado, cité par le journal El Dia. La décision a été prise après le hold-up jeudi dernier « en pleine journée » d'une caisse d'épargne, la Coopérative de la famille, par cinq personnes portant des masques couramment utilisés en Bolivie pour se protéger du virus de la grippe H1N1. La police de Santa Cruz soutient cette décision.

Enquête en Corée du Sud contre un éléphant jeteur de pierres
La police sud-coréenne a ouvert une enquête contre un éléphant d'un zoo de Séoul soupçonné d'avoir lancé une pierre à la tête d'une visiteuse avec sa trompe, selon la presse locale. La victime, Mme Kim, accuse le pachyderme d'avoir commis son forfait alors qu'elle se promenait, lundi, dans le Grand parc des enfants. L'éléphant, âgé de 35 ans et surnommé Taesani, aurait ramassé une pierre de belle taille avec son appendice nasal puis mis en joue la visiteuse qui lui tournait le dos. Prétendument touchée derrière la tête, Mme Kim est allée porter plainte au commissariat de Gwangjin, qui a ouvert une enquête. Les premières investigations s'annoncent épineuses : l'agression présumée s'est déroulée hors du champ des caméras de surveillance. « Même si Mme Kim pense que l'éléphant lui a jeté une pierre, il est difficile d'établir ce fait car il n'y a ni témoin ni preuve », a indiqué une source proche du dossier citée par le quotidien Dong-A Ilbo.

Insulter son chef n'est pas un motif  de licenciementTraiter son chef de « fils de p... » n'est pas un motif de licenciement, car cette expression est devenue d'un « usage courant », a décidé un tribunal catalan dont les attendus sont publiés par le quotidien El Mundo. La chambre sociale du Tribunal supérieur...

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