et aussitôt que possible, en dépit des difficultés", a dit M. Hariri à la presse à l'issue d'un entretien avec le président libanais Michel Sleiman.
"Les difficultés seront résolues par des pourparlers pacifiques", a-t-il dit, en faisant référence à la répartition des portefeuilles et à leurs titulaires.
"Nous sommes tous pressés de voir naître le gouvernement et nous sommes conscients des défis auxquels fait face notre pays, notamment sur le plan économique", a-t-il ajouté.
Chef de la majorité parlementaire, Saad Hariri, fils du dirigeant assassiné Rafic Hariri, a été chargé le 27 juin de former un gouvernement d'union. Mais les négociations qu'il a engagées n'ont pas encore permis de constituer une équipe gouvernementale.
La majorité, issue des législatives du 7 juin, refuse notamment l'idée d'accorder une minorité de blocage au camp mené par le Hezbollah, appuyé par la Syrie et l'Iran, arguant que ce mécanisme avait entravé la prise de décisions au sein du précédent gouvernement.
Lundi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti Beyrouth du risque qu'entraînerait pour le Liban une entrée du Hezbollah dans un futur gouvernement.
et aussitôt que possible, en dépit des difficultés", a dit M. Hariri à la presse à l'issue d'un entretien avec le président libanais Michel Sleiman.
"Les difficultés seront résolues par des pourparlers pacifiques", a-t-il dit, en faisant référence à la répartition des portefeuilles et...
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