De l'art et du glam entre chien et loup
Tony et Elham Salamé ne sortent pas uniquement leurs griffes... mais aussi leur collection privée d'art contemporain. Vendredi soir, entre chien et loup, dans le magnifique jardin de leur villa à Faqra et sur fond de musique very soft jouée au piano par Thalia Dargham qui avait signé son CD la veille chez Virgin Megastore, les Salamé ont fait exploser sous les yeux éblouis d'une centaine de convives des peintures et sculptures d'artistes internationaux. Et pas des moindres : Takashi Murakami, Demien Hirst, Clemente, Fontana, sans oublier la signature de Marc Quinn, bien visible sur la statue de Kate Moss. Après ce très chic sunset cocktail, auquel ont assisté Fouad et Hoda Siniora, Raymond et May Audi, Michelle Sison, Jacques Sarraf, Antoine Fadel, Saad Azhari, Ahmad et Shérine Tayeb, Karim et Joëlle Hamadé, Nadim Mounla et sa belle moitié Norma Naoum (la liste est trop longue pour citer toute la brochette de figures sans tomber dans un name droping lassant), les invités ont convergé vers le restaurant People où un dîner était donné pour alimenter la caisse de l'association Heart Beat et réaliser un maximum de rêves d'enfants malades. Les lots de la tombola organisée par Cartier ont été décrochés par Lena Fadel et Antoine Nasrallah, une femme et un homme de cœur, qui ont offert à l'association la montre et le collier gagnés, tandis que Julia Boutros arborait fièrement son bracelet Love.
Yes, they did (it)...
Devant le maire de Limassol, lundi 27 juillet à 11h30, sur la digue de l'hôtel Amatheus aménagé en une salle de mariage, un double « oui » assuré a retenti entre ciel et mer : ceux de Nayla Tuéni et de Malek Maktabi, qui ont scellé leurs destins sous le regard de leurs témoins, Dina Chammas pour elle, son frère pour lui et sous les applaudissements de tous les invités. Ravissante en Rabih Keyrouz (robe blanche et ceinture dorée), coiffée et maquillée par l'équipe de Rony Nacouzi venue spécialement de Beyrouth, la mariée a eu droit à une véritable «zaffé » libanaise et à un lâcher de pigeons blancs. Sitôt la cérémonie terminée, tout le monde s'est retrouvé sur la pelouse où un déjeuner attendait les convives. Leurs deux familles, bien sûr, notamment Myrna Abou Charaf, Léna Moni Gharios, les Tuéni (Siham, les délicieuses Nadia et Gabriella, Samir et Joumana), les Hamadé (Marwan, Ali et Nadine, Karim et Joëlle), mais aussi Candice Sloukji, Laure Goraieb et l'équipe de Nahar ech-Chabbab... Quant à Gebran, d'aussi haut soit-il, il était bien présent dans les cœurs, tous les cœurs... Des larmes ont coulé. Mais en vrais partisans de l'immortel slogan « I love life » et d'une coexistence 100 % made in Lebanon, le présentateur-télé vedette et la députée d'Achrafieh ont bullé au champagne et se sont dorés au soleil avant de mettre le cap sur la Thaïlande.
Mabrouk, au fait...
Même les poissons souriaient
pour May et Vassilis
Entre-temps, à 50 km d'Athènes, à l'hôtel luxueux du Cape Sounion qui occupe un site admirable face à la mer Égée et aux Cyclades, à l'heure où les premiers rayons de soleil léchaient les colonnes élancées du temple de Poséidon, comme suspendu au-dessus de la mer, une petite parenthèse hors du temps, magique et éternel : May Saïd Ayas et le jeune Grec Vassilis Karatzenis célébraient leur mariage entourés de parents et d'amis, ses frères Karim et Tarek, ses sœurs Rima et Nour, ses tantes May Bohsali et Hoda Abderrahman, Maya et Jihad el-Assaad, l'ambassadeur du Honduras à Genève Dacio Castillo, Gérard et May Sikias, Anne-Marie et Bernard Chabannel et leurs enfants, Diane Saadé, Nada Rabbat Salam, Raya Daouk et son fils Talal... tous étaient venus de Londres, Paris, Nice et Beyrouth, alors que, débarquant de Houston, Joe et Joumana Boulos, Peter et Maha Kazan Tarazi, Hani et Loren Yakan. La fête a évidemment secoué la mer Égée jusqu'au petit matin, et de mémoire de marins, même les poissons y dansaient en mordant à l'hameçon.
La mégafête dans l'antre du grand Charles
Après un mariage ultrachic dans le cadre fastueux de Lancaster House à Londres et les réjouissances qui ont suivi à Mykonos, la belle Carole Corm (fille de Rami et Joumana) et son époux, le business man iranien Farzad Vahidpréum, ont sablé le champagne à Beyrouth dans le magnifique jardin du grand-papa Charles Corm, auteur de La montagne inspirée et fondateur de la Revue phénicienne. L'espace, tout émaillé d'arbres centenaires et de sculptures de Youssef Hoyeck, a été superbement aménagé par Lina Tannous pour accueillir « the » big party avec musique en live et buffets luxueux conconctés par Nicolas Audi. Toute la famille était présente (les Corm, les Arida, les Hochar, les Sursock et les Kettaneh), mais aussi quelque trois cents amis, notamment Michel et Mona Pharaon, Mario et Lucy Haddad, Josette Kalil et son prince polonais, Marco Ayoub (sans Jacquot, à Londres), Walid et Gloria Khazen, Joe et Mona Issa el-Khoury, Assem et Vasso Salam, Andrée et Issam Daouk, Raja et Christiane Makarem, Gilbert et Leila Yared, Gerry Tabourian, Robert Asseily, Roby et Tania Arab, Danièle et Sara Trad, Antoine et Janine Maamari... Aïe ! Impossible d'échapper à une séquence de name-dropping !
Beigbeider fou de Yas
Tous les ans, la maison de disques (label AZ) présidée par Valéry Zeitoun convie tout le show-biz à une fête chic et choc avec des performances live. Il y a trois ans, les Scissors Sisters étaient lancées chez Maxim's à Paris, et l'année suivante, Amy Winehouse chantait à Bobino, remplacée un an plus tard par Duffy. Il y a une dizaine de jours, c'était au tour de la Libanaise Yasmine Hamdane d'être en show-case au VIP. « Avec sa techno-pop arabe composée par Mirwais, la Madonna libanaise a littéralement envoûté la salle... Et sa beauté m'a fait ouvrir une bouche, la mienne, que je n'ai pas réussi à refermer. » Dixit Fréderic Beigbeder himself.
ditavonbliss@hotmail.com
Tony et Elham Salamé ne sortent pas uniquement leurs griffes... mais aussi leur collection privée d'art contemporain. Vendredi soir, entre chien et loup, dans le magnifique jardin de leur villa à Faqra et sur fond de musique very soft jouée au piano par Thalia Dargham qui avait signé son CD la veille chez Virgin Megastore, les Salamé ont fait exploser sous les yeux éblouis d'une centaine de convives des peintures et sculptures d'artistes internationaux. Et pas des moindres : Takashi Murakami, Demien Hirst, Clemente, Fontana, sans oublier la signature de Marc Quinn, bien visible sur la statue de Kate Moss. Après ce très chic sunset cocktail, auquel ont assisté Fouad et Hoda Siniora, Raymond et May Audi, Michelle Sison, Jacques Sarraf, Antoine Fadel, Saad Azhari, Ahmad et Shérine Tayeb, Karim et Joëlle Hamadé, Nadim Mounla et sa belle moitié Norma Naoum (la liste est trop longue pour citer toute la brochette de figures sans tomber dans un name droping lassant), les invités ont convergé vers le restaurant People où un dîner était donné pour alimenter la caisse de l'association Heart Beat et réaliser un maximum de rêves d'enfants malades. Les lots de la tombola organisée par Cartier ont été décrochés par Lena Fadel et Antoine Nasrallah, une femme et un homme de cœur, qui ont offert à l'association la montre et le collier gagnés, tandis que Julia Boutros arborait fièrement son bracelet Love.
Yes, they did (it)...
Devant le maire de Limassol, lundi 27 juillet à 11h30, sur la digue de l'hôtel Amatheus aménagé en une salle de mariage, un double « oui » assuré a retenti entre ciel et mer : ceux de Nayla Tuéni et de Malek Maktabi, qui ont scellé leurs destins sous le regard de leurs témoins, Dina Chammas pour elle, son frère pour lui et sous les applaudissements de tous les invités. Ravissante en Rabih Keyrouz (robe blanche et ceinture dorée), coiffée et maquillée par l'équipe de Rony Nacouzi venue spécialement de Beyrouth, la mariée a eu droit à une véritable «zaffé » libanaise et à un lâcher de pigeons blancs. Sitôt la cérémonie terminée, tout le monde s'est retrouvé sur la pelouse où un déjeuner attendait les convives. Leurs deux familles, bien sûr, notamment Myrna Abou Charaf, Léna Moni Gharios, les Tuéni (Siham, les délicieuses Nadia et Gabriella, Samir et Joumana), les Hamadé (Marwan, Ali et Nadine, Karim et Joëlle), mais aussi Candice Sloukji, Laure Goraieb et l'équipe de Nahar ech-Chabbab... Quant à Gebran, d'aussi haut soit-il, il était bien présent dans les cœurs, tous les cœurs... Des larmes ont coulé. Mais en vrais partisans de l'immortel slogan « I love life » et d'une coexistence 100 % made in Lebanon, le présentateur-télé vedette et la députée d'Achrafieh ont bullé au champagne et se sont dorés au soleil avant de mettre le cap sur la Thaïlande.
Mabrouk, au fait...
Même les poissons souriaient
pour May et Vassilis
Entre-temps, à 50 km d'Athènes, à l'hôtel luxueux du Cape Sounion qui occupe un site admirable face à la mer Égée et aux Cyclades, à l'heure où les premiers rayons de soleil léchaient les colonnes élancées du temple de Poséidon, comme suspendu au-dessus de la mer, une petite parenthèse hors du temps, magique et éternel : May Saïd Ayas et le jeune Grec Vassilis Karatzenis célébraient leur mariage entourés de parents et d'amis, ses frères Karim et Tarek, ses sœurs Rima et Nour, ses tantes May Bohsali et Hoda Abderrahman, Maya et Jihad el-Assaad, l'ambassadeur du Honduras à Genève Dacio Castillo, Gérard et May Sikias, Anne-Marie et Bernard Chabannel et leurs enfants, Diane Saadé, Nada Rabbat Salam, Raya Daouk et son fils Talal... tous étaient venus de Londres, Paris, Nice et Beyrouth, alors que, débarquant de Houston, Joe et Joumana Boulos, Peter et Maha Kazan Tarazi, Hani et Loren Yakan. La fête a évidemment secoué la mer Égée jusqu'au petit matin, et de mémoire de marins, même les poissons y dansaient en mordant à l'hameçon.
La mégafête dans l'antre du grand Charles
Après un mariage ultrachic dans le cadre fastueux de Lancaster House à Londres et les réjouissances qui ont suivi à Mykonos, la belle Carole Corm (fille de Rami et Joumana) et son époux, le business man iranien Farzad Vahidpréum, ont sablé le champagne à Beyrouth dans le magnifique jardin du grand-papa Charles Corm, auteur de La montagne inspirée et fondateur de la Revue phénicienne. L'espace, tout émaillé d'arbres centenaires et de sculptures de Youssef Hoyeck, a été superbement aménagé par Lina Tannous pour accueillir « the » big party avec musique en live et buffets luxueux conconctés par Nicolas Audi. Toute la famille était présente (les Corm, les Arida, les Hochar, les Sursock et les Kettaneh), mais aussi quelque trois cents amis, notamment Michel et Mona Pharaon, Mario et Lucy Haddad, Josette Kalil et son prince polonais, Marco Ayoub (sans Jacquot, à Londres), Walid et Gloria Khazen, Joe et Mona Issa el-Khoury, Assem et Vasso Salam, Andrée et Issam Daouk, Raja et Christiane Makarem, Gilbert et Leila Yared, Gerry Tabourian, Robert Asseily, Roby et Tania Arab, Danièle et Sara Trad, Antoine et Janine Maamari... Aïe ! Impossible d'échapper à une séquence de name-dropping !
Beigbeider fou de Yas
Tous les ans, la maison de disques (label AZ) présidée par Valéry Zeitoun convie tout le show-biz à une fête chic et choc avec des performances live. Il y a trois ans, les Scissors Sisters étaient lancées chez Maxim's à Paris, et l'année suivante, Amy Winehouse chantait à Bobino, remplacée un an plus tard par Duffy. Il y a une dizaine de jours, c'était au tour de la Libanaise Yasmine Hamdane d'être en show-case au VIP. « Avec sa techno-pop arabe composée par Mirwais, la Madonna libanaise a littéralement envoûté la salle... Et sa beauté m'a fait ouvrir une bouche, la mienne, que je n'ai pas réussi à refermer. » Dixit Fréderic Beigbeder himself.
ditavonbliss@hotmail.com
De l'art et du glam entre chien et loupTony et Elham Salamé ne sortent pas uniquement leurs griffes... mais aussi leur collection privée d'art contemporain. Vendredi soir, entre chien et loup, dans le magnifique jardin de leur villa à Faqra et sur fond de musique very soft jouée au piano par Thalia Dargham qui avait signé son CD la veille chez Virgin...
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