Les forces de sécurité possèdent un « trésor d'informations » sur les réseaux d'espionnage
Le dossier de l'espionnage au profit d'Israël prend de l'ampleur notamment après le démantèlement de onze réseaux et l'inculpation de dix-huit personnes dont douze sont actuellement détenues.
En effet, suite aux dernières arrestations, une source sécuritaire a confié à l'agence al-Markaziya que « les forces de sécurité mettront la main sur de nouvelles cellules au cours des prochains jours, à la lumière d'un "trésor d'informations" obtenu au cours des enquêtes avec les personnes arrêtées ». Selon cette source, « les services de sécurité ont réussi à élaborer une feuille de route des agents dispersés dans plusieurs régions libanaises et dont la mission consiste à observer les positions libanaises et certains responsables locaux ». La source a ajouté qu'un tel nombre de réseaux est « une déclaration de guerre au Liban ».
Par ailleurs, le commissaire du gouvernement près le tribunal militaire, le juge Sakr Sakr, a poursuivi les inculpations de certaines personnes pour espionnage pour le compte d'Israël, et dont le nombre a atteint dix-huit, dont douze sont arrêtées (onze Libanais dont trois femmes et un Palestinien). Six autres personnes sont en fuite.
De son côté, le premier juge d'instruction près le tribunal militaire, le magistrat Rachid Mezher, a transféré au juge d'instruction militaire, Samih el-Hajj, le dossier du réseau d'espionnage formé de Hassan Mohammad Chéhab et Chawki Nehmé Abbas, qui sont arrêtés, et Jamal Nehmé Daou, Adib et Abou Mohammad, qui avaient pris la fuite. Le juge Hajj devrait entamer aujourd'hui leur interrogatoire. Hier, il avait interrogé Ali Mantache, accusé également d'espionnage et qui avait demandé un délai pour désigner un avocat pour sa défense.
La libération des quatre généraux renforce les pourparlers internationaux avec la Syrie
Selon des sources proches du Tribunal international, la libération des quatre généraux est susceptible de renforcer les efforts internationaux déployés secrètement avec les responsables syriens pour les pousser à coopérer de façon sérieuse avec le Tribunal international et de donner suite à ses revendications en rapport avec la nécessité de voir des témoins ou des accusés syriens comparaître devant le tribunal.
Le dossier de l'espionnage au profit d'Israël prend de l'ampleur notamment après le démantèlement de onze réseaux et l'inculpation de dix-huit personnes dont douze sont actuellement détenues.
En effet, suite aux dernières arrestations, une source sécuritaire a confié à l'agence al-Markaziya que « les forces de sécurité mettront la main sur de nouvelles cellules au cours des prochains jours, à la lumière d'un "trésor d'informations" obtenu au cours des enquêtes avec les personnes arrêtées ». Selon cette source, « les services de sécurité ont réussi à élaborer une feuille de route des agents dispersés dans plusieurs régions libanaises et dont la mission consiste à observer les positions libanaises et certains responsables locaux ». La source a ajouté qu'un tel nombre de réseaux est « une déclaration de guerre au Liban ».
Par ailleurs, le commissaire du gouvernement près le tribunal militaire, le juge Sakr Sakr, a poursuivi les inculpations de certaines personnes pour espionnage pour le compte d'Israël, et dont le nombre a atteint dix-huit, dont douze sont arrêtées (onze Libanais dont trois femmes et un Palestinien). Six autres personnes sont en fuite.
De son côté, le premier juge d'instruction près le tribunal militaire, le magistrat Rachid Mezher, a transféré au juge d'instruction militaire, Samih el-Hajj, le dossier du réseau d'espionnage formé de Hassan Mohammad Chéhab et Chawki Nehmé Abbas, qui sont arrêtés, et Jamal Nehmé Daou, Adib et Abou Mohammad, qui avaient pris la fuite. Le juge Hajj devrait entamer aujourd'hui leur interrogatoire. Hier, il avait interrogé Ali Mantache, accusé également d'espionnage et qui avait demandé un délai pour désigner un avocat pour sa défense.
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Selon des sources proches du Tribunal international, la libération des quatre généraux est susceptible de renforcer les efforts internationaux déployés secrètement avec les responsables syriens pour les pousser à coopérer de façon sérieuse avec le Tribunal international et de donner suite à ses revendications en rapport avec la nécessité de voir des témoins ou des accusés syriens comparaître devant le tribunal.
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