Un accord cadre visant à renforcer la coopération dans le domaine de l'enseignement de la langue et de la culture italiennes au Liban a été signé hier par l'ambassadeur d'Italie, Gabriele Checchia, et Zouhair Chokor, recteur de l'Université libanaise (UL).
L'accord cadre est étalé sur cinq ans et comprend une convention plus spécifique entre le Centre de langues et traduction de la faculté des arts et des sciences humaines (CLT) et le Centre culturel de l'ambassade d'Italie. Cet accord, qui a été signé par le directeur de l'Institut culturel de l'ambassade, Ennio Troili, par le doyen de la faculté des arts, Ali Faour, et par la directrice du centre, Dalal Barakat Abou Assali, prévoit une contribution de 18 000 dollars de la part de l'Institut culturel italien au CLT pour l'enseignement de la langue et la culture italiennes.
L'accord vise également à faciliter la réalisation des objectifs suivants : une augmentation du personnel spécialisé dans l'enseignement de la langue italienne, la disponibilité de nouveaux livres, films et matériel didactique fournis par le ministère italien des Affaires étrangères, la possibilité, pour les étudiants de l'UL, de poursuivre leurs études dans une université italienne dans le cadre d'un master et des stages au sein d'entreprises italiennes.
L'accord vise également à encourager les étudiants de langue italienne dans les écoles secondaires, qui participent au projet pilote « l'italien comme langue seconde 2 », financé par le ministère italien des Affaires étrangères, à poursuivre leurs études académiques et travailler dans différents secteurs d'intérêt commun.
M. Checchia a expliqué qu' « à travers cet accord, nous œuvrons à encourager les jeunes Libanais à étudier l'italien et à promouvoir la coopération interuniversitaire entre les deux pays ». « Je suis confiant que la connaissance de l'italien pourrait offrir de nouvelles opportunités aux étudiants libanais, a-t-il poursuivi. L'italien ne s'associe pas seulement à l'art, à la musique, à la littérature et à la cuisine. L'Italie demeure un des pays les plus industrialisés et un membre fondateur de l'Union européenne, qui jouit de relations commerciales en crescendo avec le Liban et le Moyen-Orient. Les entreprises italiennes opérant dans les secteurs pionniers tels que la hi-tech, le design et la mode sont à la recherche de jeunes professionnels qui maîtrisent l'italien, l'arabe, l'anglais et/ou le français. »
L'accord cadre est étalé sur cinq ans et comprend une convention plus spécifique entre le Centre de langues et traduction de la faculté des arts et des sciences humaines (CLT) et le Centre culturel de l'ambassade d'Italie. Cet accord, qui a été signé par le directeur de l'Institut culturel de l'ambassade, Ennio Troili, par le doyen de la faculté des arts, Ali Faour, et par la directrice du centre, Dalal Barakat Abou Assali, prévoit une contribution de 18 000 dollars de la part de l'Institut culturel italien au CLT pour l'enseignement de la langue et la culture italiennes.
L'accord vise également à faciliter la réalisation des objectifs suivants : une augmentation du personnel spécialisé dans l'enseignement de la langue italienne, la disponibilité de nouveaux livres, films et matériel didactique fournis par le ministère italien des Affaires étrangères, la possibilité, pour les étudiants de l'UL, de poursuivre leurs études dans une université italienne dans le cadre d'un master et des stages au sein d'entreprises italiennes.
L'accord vise également à encourager les étudiants de langue italienne dans les écoles secondaires, qui participent au projet pilote « l'italien comme langue seconde 2 », financé par le ministère italien des Affaires étrangères, à poursuivre leurs études académiques et travailler dans différents secteurs d'intérêt commun.
M. Checchia a expliqué qu' « à travers cet accord, nous œuvrons à encourager les jeunes Libanais à étudier l'italien et à promouvoir la coopération interuniversitaire entre les deux pays ». « Je suis confiant que la connaissance de l'italien pourrait offrir de nouvelles opportunités aux étudiants libanais, a-t-il poursuivi. L'italien ne s'associe pas seulement à l'art, à la musique, à la littérature et à la cuisine. L'Italie demeure un des pays les plus industrialisés et un membre fondateur de l'Union européenne, qui jouit de relations commerciales en crescendo avec le Liban et le Moyen-Orient. Les entreprises italiennes opérant dans les secteurs pionniers tels que la hi-tech, le design et la mode sont à la recherche de jeunes professionnels qui maîtrisent l'italien, l'arabe, l'anglais et/ou le français. »
Un accord cadre visant à renforcer la coopération dans le domaine de l'enseignement de la langue et de la culture italiennes au Liban a été signé hier par l'ambassadeur d'Italie, Gabriele Checchia, et Zouhair Chokor, recteur de l'Université libanaise (UL). L'accord cadre est étalé sur cinq ans et comprend une convention plus...
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