Rechercher
Rechercher

Actualités

De l’art des échanges épistolaires…

Un ouvrage qui sort des chemins battus. C’est grâce à Hyam Mallat, auteur de La rencontre de Pierre Benoît et Georges Lecomte de l’Académie française avec le Liban (Geuthner, 170 pages)*, qu’une lumière vient d’être jetée sur une correspondance inédite. Une correspondance qui témoigne clairement que c’est en implantant la francophonie dans le patrimoine d’un pays qu’elle a la chance d’acquérir de profondes racines et une dimension à la mesure de son ambition. Et c’est dans ce cadre que le Liban dispose d’une relation publique et culturelle privilégiée, significative et singulière avec la France. Et cet ouvrage, rare et précieux en son genre, vient rappeler une étape éminente d’une longue tradition culturelle et littéraire initiée dès le XVIIe siècle. Il s’agit, dans ces pages, de textes inédits, conservés au Collège des pères lazaristes de Antoura, au Kesrouan. Ces textes composent l’ensemble d’une correspondance s’étendant sur une trentaine d’années entre Pierre Benoît, Maurice Barrès et Georges Lecomte, tous trois membres de l’Académie française, et le père Sarloutte. Cette rencontre entre des personnalités littéraires et religieuses, et leur engagement au cours de la première moitié du XXe siècle, tant au Liban qu’en France, a constitué un modèle d’amitié, de coopération, de dialogue et de sensibilité entre les deux pays. Signature, demain jeudi, 30 octobre, à 20h00, au stand Geuthner.
Un ouvrage qui sort des chemins battus. C’est grâce à Hyam Mallat, auteur de La rencontre de Pierre Benoît et Georges Lecomte de l’Académie française avec le Liban (Geuthner, 170 pages)*, qu’une lumière vient d’être jetée sur une correspondance inédite.
Une correspondance qui témoigne clairement que c’est en implantant la francophonie dans le patrimoine d’un...