Sarah Palin, la candidate républicaine à la vice-présidence à laquelle il est souvent reproché de n’avoir aucune expérience en politique étrangère, met les bouchées doubles. Hier, elle devait rencontrer les dirigeants afghan, pakistanais, colombien et indien à New York. Mme Palin est arrivée lundi soir à New York, où des dizaines de dirigeants, Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères se retrouvent cette semaine à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations unies. Ces entretiens, qui se poursuivront aujourd’hui en compagnie de John McCain, le candidat républicain à la présidentielle de novembre, devraient aider Mme Palin à se préparer à débattre le 2 octobre avec Joe Biden, son adversaire démocrate, grand connaisseur des affaires du monde. Avec M. McCain, la gouverneure de l’Alaska, qui n’a guère fait l’usage de son récent passeport, va rencontrer le président ukrainien Viktor Iouchtchenko, son homologue géorgien Mikhaïl Saakachvili. Aucune conférence de presse n’est prévue avec ses interlocuteurs. Pour faire bonne mesure, elle rencontrera également Bono, le chanteur de U2 et champion de la lutte contre la pauvreté, et Henry Kissinger, l’une des figures les plus marquantes de la diplomatie américaine.
Sarah Palin, la candidate républicaine à la vice-présidence à laquelle il est souvent reproché de n’avoir aucune expérience en politique étrangère, met les bouchées doubles. Hier, elle devait rencontrer les dirigeants afghan, pakistanais, colombien et indien à New York. Mme Palin est arrivée lundi soir à New York, où des dizaines de dirigeants, Premiers ministres et...
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