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Actualités - OPINION

Ce Liban qu’on aime...

«Tu sais, j’aime venir au Liban parce qu’il n’y a pas de règlements?», disait une petite Américaine de neuf ans d’origine libanaise à son grand-père qui essayait de la dissuader de faire des feux d’artifice, à la veille de la Saint-Élie, pour des raisons sécuritaires. Ce charme qu’exerce ce Liban anarchique finit par nous pénaliser lourdement. Les incendies sauvages provoqués par les feux de joie ne se comptent plus, les accidents de la route dus à une conduite pour le moins fantaisiste sur les autoroutes non plus, le non-port de casque par les conducteurs de deux-roues, ou de ceintures de sécurité par les automobilistes, décime nos jeunes. Et que dire des tirs qui ponctuent chaque discours de leader?? De grâce, Messieurs les ministres, des lois fermes et dures pour toutes ces infractions. Elles ont l’air bien banales, mais elles empoisonnent et endeuillent nombre d’existences. Faites en sorte que l’on ne veuille plus aimer le Liban pour l’aventure, mais pour la sécurité. Dolly TALHAMÉ
«Tu sais, j’aime venir au Liban parce qu’il n’y a pas de règlements?», disait une petite Américaine de neuf ans d’origine libanaise à son grand-père qui essayait de la dissuader de faire des feux d’artifice, à la veille de la Saint-Élie, pour des raisons sécuritaires. Ce charme qu’exerce ce Liban anarchique finit par nous pénaliser lourdement. Les incendies...