Faits et méfaits Il tue son père et cache son corps dans le bac à fleurs

Hier à Aïn Cana, dans le caza de Nabatiyé, le meurtre de Mohammad Hassan Mallah, 51 ans, un homme assassiné par son propre fils, a été reconstitué devant le juge et la police. Ali Mohammad Hassan Mallah, 21 ans, a assassiné son père au su de sa maman, Mariam, qui l’a aidé à faire disparaître le cadavre. Tous les deux ont été arrêtés. Le crime a eu lieu le 2 février dernier et a été découvert le 6 mars. Dans les faits, Ali a tué son père alors que ce dernier dormait dans la chambre à coucher. Il a tiré sur lui à bout portant à l’aide d’un fusil de chasse. Il a raconté son crime à sa mère et il a ensuite transporté le cadavre de son père jusqu’au toit de la maison, l’entourant d’un sac en plastique noir. Ali a ensuite placé le corps dans un grand bac à fleurs et a fait couler du béton au-dessus du cadavre. Mariam a indiqué qu’elle avait tout le temps eu des problèmes avec son mari qui avait été récemment atteint d’un cancer. Elle a affirmé que son époux avait été cruel envers elle et envers les enfants, notant que son fils Ali avait tué son père pour mettre un terme à toute cette cruauté. Elle a noté également qu’elle n’avait à aucun moment pensé que les choses se détérioreraient à ce point pour en arriver à l’assassinat. Une fillette enlevée à Baalbeck La police de Younine a perquisitionné le domicile du ressortissant syrien Amine el-Ahmad, l’arrêtant avec son fils Ahmad, accusé d’avoir enlevé la fillette Kinda Bassam Chaïb, âgée de trois ans, dans le souk de Baalbeck, et de l’avoir emprisonnée durant sept heures pour discuter avec son père Bassam Chaïb des problèmes financiers qui les opposent. Arrestation de trafiquants de drogue Dans le Liban-Nord, la police a arrêté des trafiquants d’héroïne qui travaillaient à Tripoli et à Beyrouth. Il s’agit de quatre Libanais et d’un réfugié palestinien, âgés entre 63 et 40 ans.