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une dizaine de postes avant Beyrouth

En dix-neuf ans, Marta Ruedas a rempli une dizaine de postes au Programme des Nations unies pour le développement, travaillant à New York, certes, mais notamment en Bulgarie, en Bolivie, au Kirghizstan, en Géorgie, au Mexique, en Mongolie et au Népal. Elle détient un master en relations internationales de l’Université de Columbia à New York et un diplôme en linguistique de l’Université Cornell, également à New York. Elle parle espagnol, anglais, français, portugais et russe. « J’ai fait des études de linguistique, la science de la langue, précise-t-elle. Ensuite, j’ai fait des études de russe. Cela n’avait aucune application pratique au moment où j’ai appris la langue en 1982, mais j’ai eu l’opportunité de pouvoir passer une année en Russie. C’était en 1982, l’année où Leonid Brejnev est mort », raconte-t-elle soulignant que « durant les années quatre-vingt-dix, tout a changé et j’ai pu utiliser le russe. » « Comme la seule profession en linguistique est académique, j’ai décidé de faire une maîtrise en relations internationales », ajoute-t-elle. Marta Ruedas a commencé sa carrière dans le secteur privé, en Amérique latine. « Je me suis vite rendu compte que ce n’était pas pour moi. J’ai eu ensuite la chance de voir une annonce pour un poste au PNUD », dit-elle. La représentante permanente du PNUD dit qu’elle « déteste voyager, c’est-à-dire déménager ou prendre l’avion, mais j’adore découvrir de nouvelles cultures ». Née à Madrid d’un père diplomate aux Nations unies, elle n’a jamais vécu plus de cinq ans dans un même endroit.
En dix-neuf ans, Marta Ruedas a rempli une dizaine de postes au Programme des Nations unies pour le développement, travaillant à New York, certes, mais notamment en Bulgarie, en Bolivie, au Kirghizstan, en Géorgie, au Mexique, en Mongolie et au Népal.
Elle détient un master en relations internationales de l’Université de Columbia à New York et un diplôme en linguistique de...