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Basket-ball - La franchise la plus sexy des États-Unis vue à travers ses 14 titres Les Los Angeles Lakers en chiffres...

Même s’ils n’occupent plus tout à fait les premiers rôles de la Conférence Ouest, les Lakers restent la franchise la plus sexy des États-Unis. Voici en 14 chiffres l’histoire, parfois méconnue, de l’équipe aux 14 titres. 0 comme... zéro mascotte – Étonnant au pays du showbiz quotidien, mais les Lakers, comme leurs voisins de palier des Clippers, sont les seuls à ne pas avoir de mascotte. À L.A., on dit que ce rôle, non officiel, est tenu par un certain Jack Nicholson toujours présent au premier rang depuis des lustres. 1 comme... rookie of the year – Une seule fois, les Lakers, pourtant habitués à voir défiler des stars naissantes, ont compté dans leurs rangs le meilleur débutant en NBA. Et il faut remonter à 1959 pour retrouver la trace d’Elgin Baylor. 2 comme... deux adresses – Avant Los Angeles, les Lakers avaient comme lieu de résidence, jusqu’au début des années 60, la bonne ville de Minneapolis. Lors du déménagement, leur nom, qui fait référence aux cargos traversant les Grands Lacs, n’a pas changé. 3... coaches de l’année – Bill Sharman, en 1972, Pat Riley, bien sûr, à la fameuse époque du show time (1990) et le dernier, Del Harris, il y a déjà plus de 10 ans (1995), ont été désignés par leurs pairs alors qu’ils dirigeaient l’équipe aux couleurs pourpre et or. 4 comme le nombre de salles – Depuis le début de leur histoire, les Lakers ont fréquenté quatre stades. Il y eut, à l’origine, l’auditorium de Minneapolis puis la Sports Arena de L.A. Pendant 30 ans, l’équipe a ensuite hanté le mythique forum d’Inglewood qu’elle a quitté pour le Staples Center en 2000. 6... maillots légendaires retirés – Peut-être le choix le plus difficile. Parmi toutes les étoiles passées au bord de la baie des Anges, certaines ont vu leurs maillots définitivement suspendus sous les lampions en guise d’hommage. Il y a là le numéro 13 porté par l’inoubliable Wilt Chamberlain et retiré lors d’une grande cérémonie qui, en novembre 1983, a aussi vu Baylor (n° 22) et Jerry West (le 44) accéder à la postérité. Ces tuniques cohabitent notamment avec le 32 de Magic Johnson, le 33 cher à Abdul-Jabbar et le 42 porté par James Worthy. Quelle galerie ! 7 MVP – Sept fois, un représentant des Lakers a terminé meilleur joueur de la saison régulière. Le dernier est Shaquille O’Neal (en 2000), mais il n’a pas fait oublier les triplés réussis par Abdul-Jabbar (1976, 77, 80) et Magic Johnson (1987, 89 et 90). 24 entraîneurs – C’est le nombre de coaches usés par les Lakers, depuis George Mikan au milieu des années 50 jusqu’à Phil Jackson, le « Maître Zen », revenu en 2005 et qui vient de prolonger pour deux saisons. Même Magic Johnson s’y est essayé lors du championnat 1993-94. 69 – Un chiffre mythique à Los Angeles. Il correspond au record de victoires du club dans un championnat régulier. C’était lors de la saison 1971-72 sanctionnée par seulement 13 défaites. On ne trouve guère que les Bulls de Michael Jordan pour avoir fait mieux. À noter que, seulement trois ans plus tard, les Lakers atteignaient aussi un sommet de médiocrité avec un exercice « record » à 30 succès pour 52 revers. 560 comme... la valeur marchande des Lakers (en millions de dollars, récemment estimée par le magazine Forbes) – Avec Chicago, l’équipe californienne occupe le second rang de la NBA sur ce terrain, juste devancée par les New York Knicks. Pietrus bat Parker Mickaël Pietrus et les Golden State Warriors ont battu les San Antonio Spurs de Tony Parker (130-121 après prolongation) en NBA avec de belles prestations des joueurs français. Avec 31 points et 8 passes décisives, Parker a une nouvelle fois été prolifique en attaque, arrachant même la prolongation avec un panier primé à six secondes de la fin du temps réglementaire. Pietrus a, lui, apporté 13 points et six rebonds en 24 minutes à des Warriors portés par un Baron Davis éblouissant (34 points, 14 pd) et un Stephen Jackson décisif en prolongation, au cours de laquelle il a marqué 12 de ses 29 points. Ce succès constitue une petite revanche pour Pietrus, qui s’était fait critiquer par Parker dans les colonnes de l’Équipe magazine fin décembre. « Si Mike Pietrus était reconnu, on lui aurait proposé un contrat cet été », avait taclé « Tipi », qui s’était ensuite excusé auprès de son coéquipier en équipe de France. Dans l’autre match de la journée, les Phoenix Suns de Boris Diaw ont fait exploser les Denver Nuggets de Yakhouba Diawara (137-115). Au milieu de cette orgie offensive, Diaw s’est contenté de 4 points (à 2 sur 8 aux tirs) et 6 passes. Cantonné au banc ces dernières semaines, Diawara a pu s’exprimer pendant dix minutes pour un total de deux points et un rebond. Les résultats Phoenix-Denver 137-115 Golden State-San Antonio 130-121 après prolongation.
Même s’ils n’occupent plus tout à fait les premiers rôles de la Conférence Ouest, les Lakers restent la franchise la plus sexy des États-Unis. Voici en 14 chiffres l’histoire, parfois méconnue, de l’équipe aux 14 titres.

0 comme... zéro mascotte – Étonnant au pays du showbiz quotidien, mais les Lakers, comme leurs voisins de palier des Clippers, sont les seuls à...