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Football Hector Cuper limogé de son poste d’entraîneur du Betis Séville L’entraîneur argentin du Betis Séville Hector Cuper a été limogé après la défaite dimanche soir contre l’Atletico Madrid (0-2), a annoncé hier le club sur son site Internet. « Après une réunion de plus d’une heure et demie, le conseil d’administration du Betis a fait part à Hector Cuper de sa décision de le limoger », écrit le club, précisant que les « résultats sont à l’origine de ce départ ». Le Betis Séville est actuellement avant-dernier au classement du championnat d’Espagne, quatre points devant le dernier, Levante. L’entraîneur de l’équipe de réserve Paco Chaparro, 65 ans, a été désigné en remplacement de Cuper. Hector Cuper, 52 ans, était arrivé au club andalou à l’intersaison. Il a notamment entraîné l’Inter Milan et Valence – club avec lequel il a disputé et perdu la finale de la Ligue des champions en 2000 et en 2001. À son arrivée, Cuper était le quatrième entraîneur du Betis Séville depuis l’été 2006. L’Espagnol Javier Irureta avait débuté la saison dernière avant d’être remercié et remplacé en décembre par Luis Fernandez. Le technicien français avait été démis de ses fonctions à une journée de la fin de la Liga et remplacé cette fois aussi par Paco Chaparro. Donadoni ne donne « pas totalement tort » à Domenech Le sélectionneur de l’Italie Roberto Donadoni a expliqué hier qu’il ne donnait « pas totalement tort » à son homologue français Raymond Domenech qui, dimanche après le tirage au sort de la phase finale de l’Euro 2008, avait été très énervé par une question d’un journaliste italien. « On doit tous mettre du nôtre pour ne pas trop charger (l’atmosphère) d’une rencontre, a expliqué le technicien, interrogé sur les ondes de la Rai. Quel sens cela a-t-il aujourd’hui d’évoquer Materazzi ? C’est quelque chose qui n’intéresse plus, à moins que cela ne soit maladif. » « Ensuite, cela déclenche certaines réactions. Je ne lui donne pas totalement tort », a continué Donadoni à propos de Domenech. Dimanche à Lucerne, le tirage au sort de la phase finale de l’Euro 2008 en Suisse et Autriche a débouché sur un groupe C comprenant l’Italie, la France, les Pays-Bas et la Roumanie. Peu après le tirage, Domenech avait quitté la conférence de presse énervé par « une question à la “con” d’un journaliste italien », selon ses mots, qui l’avait interrogé sur ce que lui inspirait le fait de recroiser Marco Materazzi. Question à laquelle il n’a pas répondu. « Moi, ça, je n’en parle pas, les Italiens font ça, ils me provoquent et après ils me font porter le chapeau, mais je ne rentre pas là-dedans », avait expliqué le sélectionneur français. L’Italie et la France se rencontreront lors de leur dernier match de poule, le 17 juin à Zurich. Ferguson n’achètera aucun joueur au mercato Le manageur de Manchester United, Alex Ferguson, ne compte acheter aucun joueur, à l’occasion du mercato en janvier, a-t-il indiqué au magazine officiel du club. « Les joueurs qui arrivent en cours de saison mettent du temps à s’installer, regardez ce qui s’est passé avec Évra et Vidic, et nous en sommes conscients. Je pense que l’équipe est assez bonne », a déclaré Ferguson. « Peut-être que nous manquons de profondeur de banc au poste d’arrière gauche depuis le départ de Gabriel Heinze mais, en dehors de ça, tout va bien », a-t-il ajouté. Le technicien mancunien, qui dirige les Red Devils depuis 21 ans, a rarement utilisé le mercato pour ajuster son effectif, même si, en 2006, il l’avait mis à profit pour recruter Patrice Évra et Nemanja Vidic, et faire venir en prêt Henrik Larsson du côté d’Old Trafford. Cruyff comprend que Ronaldinho soit remplaçant L’ancien joueur et entraîneur du FC Barcelone, le Néerlandais Johan Cruyff, a indiqué hier comprendre la décision de son compatriote Frank Rijkaard, actuel technicien du Barça, de laisser le Brésilien Ronaldinho sur le banc des remplaçants. « Actuellement, c’est une bonne idée (que Ronaldinho soit remplaçant), pour lui et pour l’équipe », assure l’ex-international néerlandais dans sa chronique hebdomadaire publié dans El Periodico de Catalunya. « Si tu veux obtenir le meilleur d’un joueur qui physiquement n’est pas bien, c’est bien de ne pas le faire débuter, mais de le faire entrer quand l’adversaire est un peu diminué », poursuit Cruyff. Ronaldinho était remplaçant lors des deux derniers matches du Barça, à Lyon mardi en Ligue des champions (2-2) et à Barcelone contre l’Espanyol samedi en Liga (1-1). Il est à chaque fois entré en jeu à une vingtaine de minutes de la fin. Le Brésilien, contesté depuis le début de la saison, n’a débuté que très peu de matches sur le banc des remplaçants depuis son arrivée au club catalan en 2003. Cruyff a également salué les efforts de Thierry Henry, absent encore 15 jours pour blessure et du coup incertain pour le « clasico » face au Real Madrid disputé au Camp Nou à une date encore non fixée (21, 22 ou 23 décembre) Il a loué « sa volonté d’aider l’équipe jusqu’à maintenant en jouant avec des douleurs » au dos. Henry « s’arrête juste quand Eto’o va faire son retour, ajoute le Néerlandais. Je le vois comme s’il lui passait le relais. On l’a critiqué alors qu’il donnait plus qu’il ne pouvait. D’autres auraient quitté le navire avant. »