Les Bourses européennes ont terminé en hausse hier, dans des marchés en proie à une forte volatilité et réagissant notamment à un bon indicateur immobilier aux États-Unis.
Les promesses de ventes de logements aux États-Unis ont augmenté en décembre de 6,3 % sur un mois, surprenant les analystes, qui s'attendaient à ce qu'elles aient stagné.
L'euro est remonté face au dollar, à la faveur d'un regain relatif d'optimisme sur les marchés financiers, nourri par des interventions de la Réserve fédérale américaine et un indicateur immobilier positif aux États-Unis. « Les marchés financiers se sont mieux portés », a relevé Jay Bryson, de Wachovia. « La corrélation est très forte en ce moment : quand la situation semble s'arranger un peu, cela profite à l'euro », a-t-il expliqué.
Selon lui, les investisseurs jugent les autorités européennes moins armées que leurs homologues américaines pour combattre la crise, et l'euro souffre quand les inquiétudes pour l'économie mondiale se font plus vives. Cette corrélation pourrait durer « tant que le marché n'aura pas le sentiment que l'économie mondiale se stabilise », a estimé Jay Bryson.
Enfin, le pétrole a clôturé sur une note positive, se stabilisant au-dessus des 40 dollars le baril à New York.
Les promesses de ventes de logements aux États-Unis ont augmenté en décembre de 6,3 % sur un mois, surprenant les analystes, qui s'attendaient à ce qu'elles aient stagné.
L'euro est remonté face au dollar, à la faveur d'un regain relatif d'optimisme sur les marchés financiers, nourri par des interventions de la Réserve fédérale américaine et un indicateur immobilier positif aux États-Unis. « Les marchés financiers se sont mieux portés », a relevé Jay Bryson, de Wachovia. « La corrélation est très forte en ce moment : quand la situation semble s'arranger un peu, cela profite à l'euro », a-t-il expliqué.
Selon lui, les investisseurs jugent les autorités européennes moins armées que leurs homologues américaines pour combattre la crise, et l'euro souffre quand les inquiétudes pour l'économie mondiale se font plus vives. Cette corrélation pourrait durer « tant que le marché n'aura pas le sentiment que l'économie mondiale se stabilise », a estimé Jay Bryson.
Enfin, le pétrole a clôturé sur une note positive, se stabilisant au-dessus des 40 dollars le baril à New York.
Les Bourses européennes ont terminé en hausse hier, dans des marchés en proie à une forte volatilité et réagissant notamment à un bon indicateur immobilier aux États-Unis.Les promesses de ventes de logements aux États-Unis ont augmenté en décembre de 6,3 % sur un mois, surprenant les analystes, qui s'attendaient...