Le président américain George W. Bush a dit espérer refermer le dossier nucléaire nord-coréen d’ici à la fin de sa présidence en janvier 2009, se montrant optimiste comme rarement sur le sujet. « La question, c’est : est-ce que c’est possible avant que j’en aie fini ? Oui c’est possible. J’espère que ça l’est », a-t-il dit dans un entretien avec plusieurs journaux non américains avant son départ lundi pour l’Australie et le forum de Coopération économique Asie-Pacifique (APEC). Il devrait être beaucoup question de la dénucléarisation de la Corée du Nord lors de ses entretiens au cours de son séjour en Australie. Cependant, a-t-il précisé, les États-Unis et leurs partenaires ne maîtrisent la situation que « pour faire en sorte qu’il y ait des conséquences » si la Corée du Nord ne tient pas ses engagements. M. Bush a cependant répété à plusieurs reprises que la démarche diplomatique actuelle « marchait ». Interrogé sur la possibilité qu’il y consente sans que soit résolue, aux yeux du Japon, allié des États-Unis, la question cruciale des enlèvements de Japonais pendant la guerre froide, M. Bush a affirmé sa détermination à voir régler cette affaire.
Le président américain George W. Bush a dit espérer refermer le dossier nucléaire nord-coréen d’ici à la fin de sa présidence en janvier 2009, se montrant optimiste comme rarement sur le sujet. « La question, c’est : est-ce que c’est possible avant que j’en aie fini ? Oui c’est possible. J’espère que ça l’est », a-t-il dit dans un entretien avec plusieurs journaux non...
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