INSOLITE

Une femme de 36 ans, mère de neuf enfants, met au monde des quadruplés Une Argentine de 36 ans, déjà mère de neuf enfants, a mis au monde des quadruplés, a annoncé l’hôpital de Mendoza (Ouest). Les bébés, trois garçons et une fille pesant entre 1,2 et 1,425 kilogramme, sont nés lundi et ont été placés en incubateurs. Mais les enfants et la mère, Carina Mayorga, « se trouvent en parfaite condition » de santé, a déclaré Luis Lagomaggiore, un responsable de l’hôpital. Cette arrivée prématurée dans la vie de Juana Candela, José Maria, Santiago et Pablo a autant surpris les parents que les médecins, car la maman n’avait pas fait d’examens de surveillance prénatale. Six frères et trois sœurs, âgés entre neuf mois et 17 ans, les attendent à la maison, une modeste habitation louée dans la banlieue de Mendoza (à 1 000 km de Buenos Aires). La mère travaille dans une boulangerie et le père, Hector Rodriguez, 37 ans, est ouvrier du bâtiment. Une grand-mère menacée d’éviction pour son langage trop fleuri Une grand-mère de 73 ans risque de se voir expulser de son logement dans une résidence pour retraités à Halifax, sur la côte atlantique canadienne, à cause de la verdeur de son langage et sa propension au bavardage, rapportent des médias canadiens. Mary Vaughan a expliqué au quotidien The Globe and Mail, qu’elle n’avait pas toujours eu un langage de charretier, ayant appris à jurer il y a longtemps dans le territoire du Yukon, à l’extrême-nord du Canada, où c’était selon elle une pratique courante. « Je m’asseyais devant un miroir et j’ai pratiqué jusqu’au jour où j’ai pu le faire sans avoir honte », a-t-elle confié au journal. Cet entraînement lui a permis de lancer un sonore « Brian fuck off » (Brian va te faire f...) à un membre du personnel qui se montrait désagréable avec elle. Mme Vaughan a refusé de présenter des excuses, ce qui lui est reproché en même temps que ses jurons dans l’avis d’éviction la visant. La direction de l’établissement l’accuse aussi de bavardages excessifs dans la salle commune de la maison de retraite. La vieille dame indigne, qui vient de se voir diagnostiquer un cancer, doit quitter son logement dans les prochains jours et dit n’avoir aucun endroit où aller. « Je ne dis pas que je n’ai rien fait de mal, mais est-ce suffisant pour envoyer à la rue une femme de 73 ans », s’est-elle plainte au journal. Des bons d’achat pour désintoxication Médecins et travailleurs sociaux en Angleterre vont pouvoir donner des bons d’achat aux toxicomanes pour les inciter à abandonner la drogue, selon des recommandations annoncées hier par un organisme sanitaire. Cette mesure concernerait 36 000 personnes âgées de plus de 16 ans qui pourraient toucher entre 70 et 150 livres (entre 104 et 223 euros), à condition qu’elles se soumettent à une cure de désintoxication et soient suivies sur le plan médical, a expliqué l’Institut national pour la santé et l’excellence clinique (Nice) à l’origine du procédé. Les personnes ayant achevé leur désintoxication pourront aussi recevoir ces incitations financières liées à des contrôles réguliers pour détecter une éventuelle rechute. Le coût de cette mesure, qui s’inscrit dans un programme chiffré à 13,4 millions de livres (20 millions d’euros), est évalué à 2,5-5 millions de livres par an.