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Actualités

Les lecteurs ont voix au chapitre

Le Liban sans ses jeunes… Voilà que le serial killer continue de détruire notre pays… À la vue de tous ces attentats à la bombe, nous, jeunes du Liban, vivons dans le désespoir et le doute sur notre avenir dans notre pays. Cette instabilité politique et le danger perpétuel dans lequel nous sommes ne nous permettent plus de rêver, de faire des projets à long terme et même de nous imaginer encore là demain. C’est aux « grands » que je m’adresse, à ceux dont le devoir est de nous assurer un mode de vie digne de ce peuple libanais, une sécurité irréprochable et un sens de la démocratie indéniable. Oui, c’est à vous que je m’adresse, ministres et députés, qui tentent de régler les problèmes par la parole, par les voyages. Pensons à l’intérêt du Liban, à son développement économique et à ses jeunes qui ne rêvent que de partir. Agissez enfin ! Mais ne nous oubliez pas, parce que sans nous le Liban de demain ne sera peut-être plus. Christy MASSABNI Un festival pour les jeunes À l’attention de Dolly Talhami (voir L’Orient-Le Jour du samedi 2 juin 2007). Le Festival international de Byblos redémarre avec force et éclectisme cette année, malgré la situation tendue qui prévaut dans le pays. Les membres du comité du festival ont courageusement maintenu l’organisation de la saison pour prouver encore une fois, s’il le fallait, que le Liban continue à vivre. C’est grâce à vous, les jeunes du Liban, que nous trouvons l’élan nécessaire pour aller de l’avant. Jeunesse du Liban, le Festival international de Byblos est le vôtre. Latifée LAKIS Présidente Festival international de Byblos
Le Liban sans ses jeunes…

Voilà que le serial killer continue de détruire notre pays…
À la vue de tous ces attentats à la bombe, nous, jeunes du Liban, vivons dans le désespoir et le doute sur notre avenir dans notre pays. Cette instabilité politique et le danger perpétuel dans lequel nous sommes ne nous permettent plus de rêver, de faire des projets à long terme et...