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DU MONDE ENTIER

Chaleur et humidité, les alliées de la verrue Quelques séances de natation à la piscine, un après-midi à la plage, des jeux les pieds dans l’eau et la verrue pointe du nez. Aussi bénigne que fréquente, la verrue qui affecte les pieds et le corps est extrêmement contagieuse, indique l’agence Destination Santé. Les verrues sont de petites tumeurs bénignes fréquemment provoquées par un virus. Elles se répandent plus volontiers dans les ambiances chaudes et humides. Celles justement qui règnent dans les piscines, les vestiaires sportifs et leurs annexes, les locaux scolaires et les collectivités en général. Toutes les mesures d’hygiène restent inefficaces pour les éliminer totalement, ce qui d’ailleurs ne saurait les faire remettre en cause! Veillez donc à porter des tongs ou des claquettes à la piscine, des sandalettes en salle de sport. Enfin une règle d’or, une serviette de bain par personne. De nombreux traitements existent contre les verrues, mais le plus raisonnable, c’est d’en parler à votre médecin. La mésothérapie, une « médecine douce aux complications dures » Le Pr Laurent Lantiéri, chef du service de chirurgie plastique et recontructrice du CHU Henri Mondor de Créteil (Val-de-Marne), a mis en garde contre les risques de la mésothérapie, «une médecine douce avec des complications dures». Invité de l’émission Le grand rendez-vous d’Europe1/TV5Monde/Le Parisien-Aujourd’hui, pour parler de la greffe de la partie basse de la face qu’il a réalisée en janvier, le Pr Lantiéri a prévenu des risques «d’une médecine esthétique absolument pas validée scientifiquement». «Lorsque c’est que de la crème, ce n’est pas très grave, mais lorsqu’on commence à mettre des fils d’or ou des fils crantés», des infections graves peuvent en résulter, a-t-il expliqué. La mésothérapie, «en vogue pour l’amaigrissement», consiste à injecter, avec un petit pistolet, «des produits en sous-cutané, sous la peau, dans la graisse», a-t-il précisé, relevant que des femmes «sont gravement infectées». «Parfois ce sont des germes extrêmement corrosifs», a poursuivi le chirurgien, conseillant aux femmes de ne «pas se faire injecter n’importe quoi par n’importe qui». Une protéine du cerveau à l’origine de l’hypertension Une équipe britannique de scientifiques a identifié la protéine JAM-1, située dans le cerveau, qui serait responsable de l’hypertension, selon une étude à paraître dans le journal Hypertension. Ces chercheurs de l’Université de Bristol ont découvert que JAM-1 emprisonnait les globules blancs, provoquant des inflammations qui gênent la circulation sanguine et réduisent l’apport d’oxygène au cerveau. Ils estiment ainsi que l’hypertension est une maladie vasculaire inflammatoire du cerveau, plus qu’une maladie due au cœur. Leurs recherches visent «la possibilité de traiter les patients qui ne répondent pas aux traitements conventionnels de l’hypertension, avec des médicaments qui réduisent l’inflammation des vaisseaux sanguins et qui augmentent le flux sanguin vers le cerveau», a expliqué le Pr Julian Paton, qui dirige le projet. «Le nouveau défi va être de comprendre le type d’inflammation des veines du cerveau», a-t-il indiqué, soulignant que JAM-1 pourrait «fournir de nouvelles pistes pour traiter cette maladie».
Chaleur et humidité, les alliées de la verrue

Quelques séances de natation à la piscine, un après-midi à la plage, des jeux les pieds dans l’eau et la verrue pointe du nez. Aussi bénigne que fréquente, la verrue qui affecte les pieds et le corps est extrêmement contagieuse, indique l’agence Destination Santé.
Les verrues sont de petites tumeurs bénignes fréquemment...