INSOLITE

Près d’un quart des Britanniques regrettent de s’être mariés Près d’un quart des Britanniques (23 %) regrettent de s’être mariés et 15 % des fiancés admettent qu’ils franchiront le pas avec appréhension, selon une étude de OnePoll.Com rendue publique hier. Si la plupart des personnes interrogées en Grande-Bretagne disent s’être mariées par amour, un tiers des couples avancent comme motif l’envie d’avoir des enfants ou la nécessité de payer la maison achetée en commun. Quatre pour cent avouent avoir convolé en justes noces... uniquement pour les cadeaux et la fête de mariage. Le voleur de voiture piégé par la fermeture centralisée Un voleur qui fouillait l’intérieur d’une voiture à Bilbao (Espagne) a eu la désagréable surprise de sentir la portière se refermer derrière lui et d’être pris au piège du système de fermeture centralisé. Un couple se trouvait mercredi soir en train de décharger sa voiture dans les rues de la ville basque. Ils se sont absentés un court instant, et la femme, à son retour quelques minutes plus tard, a trouvé la portière du conducteur ouverte et un individu s’agitant à l’intérieur, a indiqué hier le ministère basque de l’Intérieur. Elle a alors « rapidement refermé la porte et utilisé la télécommande du véhicule pour verrouiller la fermeture centralisée, enfermant le voleur présumé », selon un communiqué des autorités régionales. Le voleur a été interpellé. On lui recoud le bras qu’un crocodile avait arraché Des chirurgiens taïwanais ont annoncé hier qu’ils avaient recousu l’avant-bras d’un vétérinaire après avoir été arraché par un crocodile malade qu’il soignait dans un zoo. Chang Po-yu, 38 ans, était dans une condition stable après six heures de chirurgie, les médecins lui donnant 80 % de chances de garder son membre. Il était en train d’injecter un anesthésiant au crocodile, dans le zoo de Kaohsiung (Sud), quand l’animal s’est retourné vers lui et a emporté l’avant-bras dans sa gueule. Le reptile n’a lâché prise qu’après avoir été atteint de deux balles tirées par un policier. Après 1 742 jours de dérive dans l’Atlantique, la bouteille échoue en France Une bouteille, lancée à la mer en mai 2002 par un grand-père américain pendant une traversée de l’Atlantique, a été retrouvée il y a quelques semaines par un grand-père français sur une plage de Fouras, en Charente-Maritime, après 1 742 jours de dérive. L’histoire, racontée fin mars par le quotidien américain Washington Post, a été confirmée à l’AFP par Guy Martin, retraité de la région parisienne qui a retrouvé début avril sa résidence secondaire de Fouras, à 30 km au sud de La Rochelle (Sud-Ouest). « Le 20 février, je me promenais avec mes petits-enfants sur la plage, quand j’ai aperçu une bouteille en plastique. À l’intérieur, j’ai découvert une pochette, avec “Please open” (Ouvrez s’il vous plaît) écrit dessus, et un mot, tout en anglais », explique le sexagénaire. Le grand-père et ses petits-enfants, Guillaume 7 ans et Adrien 5 ans, découvrent ainsi les coordonnées d’un certain Nolan, de Fairfax, une ville de l’État de Virginie aux États-Unis. Ils lui envoient une carte postale. La réponse arrive par e-mail, signée Thomas Garnett : Nolan, 9 ans, est son petit-fils. Le grand-père américain avait lancé la bouteille le 15 mai 2002 au cours d’une traversée de l’Atlantique à bord du paquebot Queen Elizabeth II. Selon ses calculs, la bouteille aurait couvert 2 066 milles marins (3 826 km environ) en 1 742 jours, soit une moyenne de 2,2 km par jour.