Le mouvement du leader radical chiite Moqtada Sadr a vertement critiqué hier le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki pour avoir déclaré qu’il ne voyait pas « l’utilité d’un calendrier de retrait » américain et menacé de quitter le gouvernement. Moqtada Sadr est un féroce adversaire des Américains qu’il ne manque jamais de critiquer et avec lesquels il a demandé...
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Le mouvement Sadr critique Maliki et menace de quitter le gouvernement
le 12 avril 2007 à 00h00
Le mouvement du leader radical chiite Moqtada Sadr a vertement critiqué hier le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki pour avoir déclaré qu’il ne voyait pas « l’utilité d’un calendrier de retrait » américain et menacé de quitter le gouvernement. Moqtada Sadr est un féroce adversaire des Américains qu’il ne manque jamais de critiquer et avec lesquels il a demandé à ses partisans de ne pas collaborer. Le Premier ministre irakien avait affirmé début mars qu’un remaniement gouvernemental était imminent. Le mouvement compte six ministères au gouvernement d’union nationale et 30 députés sur 275 au Parlement. Parallèlement, le président irakien Jalal Talabani a affirmé hier soir avoir « développé des contacts avec cinq groupes d’insurgés » combattant les forces de la coalition dirigée par les États-Unis en Irak. « Nous avons pris ces contacts pour essayer de les développer dans les instances politiques », a déclaré M. Talabani à des journalistes de télévision, selon un communiqué de la présidence.
Le mouvement du leader radical chiite Moqtada Sadr a vertement critiqué hier le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki pour avoir déclaré qu’il ne voyait pas « l’utilité d’un calendrier de retrait » américain et menacé de quitter le gouvernement. Moqtada Sadr est un féroce adversaire des Américains qu’il ne manque jamais de critiquer et avec lesquels il a demandé...
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