FESTIVAL AL-BUSTAN - Ce soir, à 20h30, à l’auditorium Émile Boustani
«L’heure espagnole» de Ravel,
par les étudiants de l’ALBA
le 17 mars 2007 à 00h00
Au programme du Festival al-Bustan, ce soir, L’heure espagnole de Maurice Ravel, un opéra en un acte, produit et interprété par les étudiants de quatrième année de l’Académie libanaise des beaux-arts (ALBA) avec des marottes géantes.
L’histoire met en scène Conception, la femme de l’horloger Torquemada, qui, en l’absence de son époux, parti régler les horloges municipales, reçoit son amant Gonzalve.
Sauf que des visiteurs inopportuns vont débarquer, Ramiro, le muletier, et Don Inigo. Gonzalve se cache alors dans une grande horloge... Et se retrouve, à partir de là, dans une série de situations rocambolesques.
Il s’agit d’une comédie musicale en un acte et vingt et une scènes. Une pièce courte pour cinq voix avec orchestre, composée, en 1907, par l’auteur du célébrissime Boléro, sur un livret de Franc Nohain.
Rappelons que Maurice Ravel (1875- 1937) est l’un des compositeurs français les plus «imprégnés» de rythmes espagnols. Il a à son actif, entre autres, Pavane pour une infante défunte, Rhapsodie espagnole, Habanera ou encore Don Quichotte à Dulcinée. L’influence de l’Espagne sur son imaginaire musical est liée, dit-on, à ses «origines basques». Sa mère, Marie Delouart-Ravel, était une Basque, descendante d’une vieille famille espagnole.
Réalisée par une quarantaine d’étudiants en publicité, arts décoratifs et architecture d’intérieur – sous la supervision de leurs professeurs (d’animation, d’illustration, de conception, de direction artistique, de direction scénique, de design, d’architecture intérieure et de musique) – la préparation de L’heure espagnole a pris trois mois, entre élaboration des marottes, des costumes, des décors, de la scénographie, des éclairages, etc.
Un travail qui promet d’être un spectacle haut en couleur.
Au programme du Festival al-Bustan, ce soir, L’heure espagnole de Maurice Ravel, un opéra en un acte, produit et interprété par les étudiants de quatrième année de l’Académie libanaise des beaux-arts (ALBA) avec des marottes géantes.
L’histoire met en scène Conception, la femme de l’horloger Torquemada, qui, en l’absence de son époux, parti régler les horloges...
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