Le mannequin qualifie certains paparazzis de malades mentaux Kate Moss se livre à de rares confidences au magazine « Vogue »

Le mannequin vedette britannique Kate Moss s’est livrée à de rares confidences dans un entretien publié lundi, qualifiant certains paparazzis de malades mentaux, et racontant ses relations avec sa fille de quatre ans. Dans un entretien à l’édition britannique du magazine Vogue, dans lequel elle dévoile une partie de sa première collection pour la chaîne de prêt-à-porter Topshop, Kate Moss, 33 ans, qui habituellement ne parle jamais à la presse, a raconté comment un jour, à New York, elle s’était portée au secours d’une photographe qui s’était blessée en trébuchant sur une borne à incendie. « Je me suis penchée en lui demandant: “Vous allez bien?”, et elle prenait toujours des photos », a-t-elle poursuivi. « Je lui ai dit “vous êtes une malade mentale”. Elle était vraiment surprise que je me sois arrêtée. » « Est-ce qu’elle s’imaginait que j’allais la laisser là en train de saigner ? » s’est offusqué le mannequin. Kate Moss, régulièrement photographiée au sortir de boîtes de nuit, et qui fait souvent les titres de la presse populaire en raison de sa relation tumultueuse avec le chanteur britannique de rock Pete Doherty, a également insisté sur le soin qu’elle prenait de sa fille Lila. Ella a précisé qu’elle la mettait au lit tous les soirs et lui lisait une histoire. « Bien sûr, absolument tous les soirs », a-t-elle insisté. Et elle a dénoncé les paparazzis qui la traquent quelle que soit l’occasion. « Il y a des degrés dans l’intimité », a-t-elle dit. « Par exemple, si j’amène Lila à l’école, ce n’est pas OK » de prendre des photos. Elle a décrit sa fille, dont le père est le journaliste britannique Jefferson Hack, comme une « mini-moi » et une « complice ». Sa collection très attendue de 80 vêtements pour Topshop, inspirée de la boîte de nuit new-yorkaise des années 1980 Studio 54, sera mise en vente le 1er mai avec des prix allant de 10 à 200 livres (de 14,74 à 294,86 euros). « J’ai pris en gros des choses de mon armoire. Nous avons commencé par en sortir ce que j’aimais », a expliqué Kate Moss, qui pose en couverture de Vogue avec l’une de ses créations. « C’est super. Je peux dire que je veux telle botte avec tel talon. Il y a des choses que je veux et que je ne trouve pas. Comme tout le monde », a-t-elle ajouté.