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Les échos de la Berlinale

Panique. L’acteur américain Matt Damon a avoué avoir été « pris de panique » au début de son travail avec Robert De Niro, réalisateur du Bon Berger, en compétition à la Berlinale. « C’était vraiment la panique, a-t-il dit. C’est toujours très impressionnant de travailler avec De Niro en raison de son expérience. » Damon (Les infiltrés) a toutefois été rapidement rassuré car « Bob arrive très bien à calmer les gens ». Prix. Le journaliste et réalisateur de documentaires italien Gianni Mina a reçu hier le prix de la « Caméra de la Berlinale ». Mina est présent cette année à la Berlinale avec deux documentaires, Fidel cuenta el Che et Un dia con Fidel. L’Italien avait participé à la Berlinale en 2004 avec Travelling with Che Guevara, un documentaire réalisé en marge du film Carnets de voyage, racontant le périple sud-américain du jeune médecin argentin Ernesto Guevara. Mur. L’Allemande Diane Kruger (Goodbye Bafana) va bientôt incarner à l’écran une Berlinoise prête à tout pour ne pas être séparée de son mari, joué par Thomas Kretschmann, malgré la construction du mur de Berlin en 1961. Ce film, qui, selon le magazine spécialisé Variety, devrait s’appeler Divided, est réalisé par Michael Johnson qui s’est inspiré de la vie de ses parents. Le tournage doit commencer à l’été dans la capitale allemande. Photos. La Berlinale rend hommage cette année à l’agence photographique Magnum avec un cycle baptisé Magnum in Motion qui comprend 33 documentaires, portraits et courts-métrages. Certains photographes seront présents à Berlin pour discuter avec le public de leur production. La galerie berlinoise Camera Work montre par ailleurs jusqu’au 3 mars des photos de René Burri, Robert Capa et Martin Parr, tirées du catalogue de l’agence concernant Berlin. Chocolat. Parmi les nombreux gadgets vendus dans les boutiques officielles de la Berlinale, on trouve cette année des tablettes de chocolat à l’emballage doré frappé de l’ours rouge, emblème du festival. Les collectionneurs pourront également s’offrir un bout du tapis rouge du palais de la Berlinale.
Panique. L’acteur américain Matt Damon a avoué avoir été « pris de panique » au début de son travail avec Robert De Niro, réalisateur du Bon Berger, en compétition à la Berlinale. « C’était vraiment la panique, a-t-il dit. C’est toujours très impressionnant de travailler avec De Niro en raison de son expérience. » Damon (Les infiltrés) a toutefois été rapidement...