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Nahar el-Chabab lance la déclaration ministérielle du cabinet fantôme

L’association Nahar el-Chabab a lancé hier, au cours d’une conférence de presse tenue au siège de l’ordre de la presse, la première déclaration ministérielle du cabinet fantôme des jeunes. La présidente de l’association, Nayla Tuéni, était présente, ainsi que le vice-président de l’ordre de la presse, Fouad Haraké, les membres de l’association et ceux du gouvernement. Le secrétaire général de l’association, Ghassan Hajjar, a précisé que « la déclaration ministérielle constitue un cri du cœur de ceux qui refusent la division et la guerre ». Pour lui, « le cabinet fantôme des jeunes est un espace commun à tous les jeunes du Liban, c’est le creuset qui les rassemble malgré leurs appartenances différentes ». La déclaration ministérielle a été lue par la ministre du Développement administratif du cabinet fantôme, Zeinab Chaalane. Celle-ci a rappelé que la société libanaise était particulièrement jeune avec 48 % de moins de 25 ans, sachant que ces jeunes souffrent du manque d’emplois et des horizons bouchés, trouvant de plus en plus dans l’émigration un refuge. « Le rôle du gouvernement de l’ombre est de surveiller le travail du gouvernement constitutionnel et de proposer des suggestions pour rectifier le tir », a-t-elle souligné. La jeune ministre a énuméré les credo du cabinet fantôme : le respect de la Constitution et des institutions, une justice équitable et indépendante, des plans et des programmes basés sur des données scientifiques précises en vue d’une relance économique, une réforme globale non discrétionnaire, la nécessité de demander des comptes à tous les niveaux, l’importance de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme comme piliers de l’économie, l’encouragement des talents libanais.

L’association Nahar el-Chabab a lancé hier, au cours d’une conférence de presse tenue au siège de l’ordre de la presse, la première déclaration ministérielle du cabinet fantôme des jeunes. La présidente de l’association, Nayla Tuéni, était présente, ainsi que le vice-président de l’ordre de la presse, Fouad Haraké, les membres de l’association et ceux du...