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Un pourboire très généreux... Quand, dans un restaurant de Sarajevo, un jeune homme a posé sur le bar un ticket à gratter en guise de pourboire, la serveuse a cru qu’il s’agissait d’une plaisanterie, avant de gagner plus du triple de son salaire sous les yeux ébahis du client. « Elle a pensé que c’était une plaisanterie, mais a immédiatement gratté le ticket et commencé à crier de joie. Elle avait gagné 1 000 marks convertibles (512 euros) », a raconté à l’AFP le patron du restaurant, Kenan Rasidagic. Il a ajouté que le client n’a pas demandé à la serveuse ni de lui rendre le ticket ni de partager avec lui la somme gagnée. Le client accidentellement généreux avait acheté le ticket pour 50 centimes d’euro. Le salaire moyen est de 300 euros en Bosnie, l’un des plus pauvres pays d’Europe avec un taux de chômage d’environ 30 %, mais les employés de restaurant touchent environ 150 euros par mois. Un Zambien voulait vendre... son fils Un Zambien a été condamné à 20 ans de prison ferme pour avoir tenté de vendre son fils de 10 ans afin de nourrir le reste de sa famille, a rapporté hier le Zambia Daily Mail. Reconnu coupable de trafic d’être humain, Christopher Malama, 43 ans, a été condamné par le tribunal de Kabwe, petite ville située à 100 km au nord de la capitale, Lusaka. M. Malama avait proposé de vendre son fils pour 850 000 kwachas (160 euros) à un homme d’affaires. Il avait reçu un premier virement avant que l’acheteur ne décide finalement d’aleter la police. Payez la facture, sinon pas de bébé Une clinique indonésienne gardait hier un nouveau-né tant que ses parents pauvres n’avaient pas payé la facture de l’accouchement, a rapporté la presse à Djakarta. Sutrisno, un humble conducteur de cyclopousse, a indiqué manquer de 2,2 millions de roupies (environ 250 dollars) pour régler la note de 3,5 millions de roupies de l’accouchement de sa femme Sumarni, âgée de 30 ans. Il a ajouté avoir emprunté 1,3 million de roupies à des amis pour les donner à la clinique Murni Asih de la ville de Bojong Nangka, à environ 20 kilomètres à l’ouest de la capitale Djakarta. « Je ne sais pas où je vais trouver encore 2,2 millions de roupies », a-t-il assuré, selon le quotidien The Jakarta Post. « Nous nous occupons du bébé et nous le rendrons à ses parents dès qu’ils auront payé la totalité des 3,5 millions de roupies », a déclaré au journal Fendi Sihombing, porte-parole de la clinique. « Nous ne gardons pas le bébé en otage », a-t-il assuré. Aucun système satisfaisant de couverture sociale pour les pauvres n’existe en Indonésie. À Singapour, le Crazy Horse ne fait pas recette Un an après son inauguration en fanfare, le Crazy Horse de Singapour va fermer ses portes du fait de son manque de succès et des pertes financières qu’il a accumulées. Singapour, qui tente de se défaire de son image de cité-État pudibonde pour attirer davantage les touristes, a levé l’interdiction qui pesait sur les casinos et encouragé la création de nouveaux night-clubs à vocation internationale et lieux de spectacle tels que le Crazy Horse, qui attire de nombreux visiteurs à Paris depuis 1951. Dans un communiqué, la société Eng Wah, qui gère des cinémas ainsi que ce Crazy Horse singapourien, estime qu’il était peut-être prématuré d’introduire des attractions de ce type sur l’île. « Le Crazy Horse de Paris est un produit de grande qualité, et il faut du temps pour obtenir ce résultat. Toutefois, le timing est important. Il est possible que nous l’ayons introduit un peu trop tôt », a estimé le directeur de la firme, Goh Min Yen. Le dernier spectacle, dont les billets sont en vente à partir de 55 dollars, aura lieu mercredi prochain. En août dernier, le fondateur de la cité-État, l’ancien Premier ministre Lee Kuan Yew, avait prédit qu’avec l’ouverture en 2009 et 2010 de deux casinos, des projets de plusieurs milliards de dollars, les spectacles tels que le Crazy Horse attireraient une plus grande clientèle.
Un pourboire très généreux...

Quand, dans un restaurant de Sarajevo, un jeune homme a posé sur le bar un ticket à gratter en guise de pourboire, la serveuse a cru qu’il s’agissait d’une plaisanterie, avant de gagner plus du triple de son salaire sous les yeux ébahis du client. « Elle a pensé que c’était une plaisanterie, mais a immédiatement gratté le ticket et...