Les élections promises aux Fidji par les putschistes n’auront pas lieu avant un à deux ans, a averti hier le nouveau Premier ministre installé par l’armée, tout en admettant que le coup d’État était « illégal ». « Il n’y aucun doute. Il s’agit d’une prise du pouvoir illégale », a déclaré à la radio australienne ABC Jona Senilagakali, assermenté mercredi par le chef de l’armée, Voreqe Bainimarama, auteur du coup d’État. Mais cet « acte illégal » est « préférable » à l’ancien gouvernement « corrompu ». Il a été justifié par la nécessité de mettre un terme à « la pagaille beaucoup plus importante et illégale », a ajouté le nouveau dirigeant, un médecin de 77 ans. Il a défendu la répression des libertés civiles, estimant que la démocratie à l’occidentale n’était pas judicieuse pour les Fidji.
Les élections promises aux Fidji par les putschistes n’auront pas lieu avant un à deux ans, a averti hier le nouveau Premier ministre installé par l’armée, tout en admettant que le coup d’État était « illégal ». « Il n’y aucun doute. Il s’agit d’une prise du pouvoir illégale », a déclaré à la radio australienne ABC Jona Senilagakali, assermenté mercredi par...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Autosécurité : Nadim Gemayel veut rouvrir « Les Yeux d'Achrafieh »