Le président russe Vladimir Poutine a estimé hier que le scandale sexuel impliquant le président israélien Moshe Katzav s’inscrivait dans une campagne antigouvernementale après la « défaite » d’Israël contre le Hezbollah au Liban. « En ce qui concerne Israël, c’est un cas particulier : dix femmes ont déclaré que le président les avait violées. Il y a peu de temps, il y a eu des griefs de corruption à l’encontre du Premier ministre », a déclaré M. Poutine. « C’est lié au fait qu’une grande partie de la société israélienne n’est pas satisfaite des actes de son gouvernement dans le conflit libanais. Beaucoup les considèrent comme une défaite », a-t-il poursuivi. « Utiliser la défense des droits des femmes pour résoudre les questions politiques (...) est absolument inacceptable », a-t-il estimé. Moshe Katzav, soupçonné de viols et de harcèlement sexuel, lutte pour sa survie politique. Une inculpation du président que la plupart des experts juridiques estiment inévitable a déclenché une course à sa succession.
Le président russe Vladimir Poutine a estimé hier que le scandale sexuel impliquant le président israélien Moshe Katzav s’inscrivait dans une campagne antigouvernementale après la « défaite » d’Israël contre le Hezbollah au Liban. « En ce qui concerne Israël, c’est un cas particulier : dix femmes ont déclaré que le président les avait violées. Il y a peu de...
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