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Actualités - CHRONOLOGIE

FESTIVAL DE BYBLOS La star du Reggae/Dance Hall à la citadelle ce samedi

La star incontestée du Reggae/Dance Hall jamaïquain sera à la citadelle de Byblos ce samedi 15 juillet. Un artiste au look de play-boy et aux tubes interplanétaires qui va faire grimper la température dans le rouge! Garantie 100% pure jamaïquaine! Yo! À moins que vous n’ayez passé les dernières années de votre existence sur Mars, impossible que vous soyez passé à côté du «phénomène Sean Paul»; ce jeune Jamaïquain qui a complètement changé la donne du milieu Reggae/Dance Hall en associant son style à un son moderne et à des clips lascifs, et pour le moins explicites. Mais loin de ses apparats de Don Juan des «dancefloors», Sean Paul c’est avant tout l’histoire d’un gamin qui a tout fait pour réussir. Retour à 1973… Le petit Sean Paul Henriques n’est pas né dans la misère du fin fond de la Jamaïque, mais plutôt au sein d’une famille aisée de Kingston; une famille incroyablement métissée puisque sa mère a des origines chinoises et son père est moitié jamaïquain, moitié portugais. Ses études se passent plutôt bien (il sort diplômé d’une école de commerce) et le garçon se passionne pour le sport (à 17 ans, il représente d’ailleurs son pays dans des compétitions internationales de water-polo). Mais au plus profond de lui brûle un feu… celui de la musique. Un feu qui va petit à petit le dévorer… Fan absolu de Papa San, Bob Marley et Shabba Ranks, Sean Paul va tout d’abord essayer de s’approcher des bonnes personnes, à commencer par Jeremy Harding, patron du label 2 Hard Records, qui finira par lui laisser sa chance. Harding lui propose de poser un titre sur la compilation Fearless Riddim. Ce titre s’appelle Baby Girl et va, non seulement lui apporter son premier tube national, mais aussi et surtout enclencher la «machine Sean Paul». Le jeune garçon intègre alors le Dutty Cup Crew, au sein duquel il va apprendre les bases du business. Les singles se suivent (Hot Gal Today, Deport Them, Infiltrate…) et son premier album, Stage One, sort à l’aube de l’an 2000. Très rapidement, Sean Paul passe les frontières et devient la nouvelle coqueluche des adolescentes américaines. Mais tout ça n’est rien à côté du raz-de-marée que va provoquer, trois ans plus tard, l’album Dutty Rock! Ce disque, bourré de tubes et de classiques (Like Glue, Get Busy…) et qui s’était vendu à six millions d’exemplaires et avait été couronné d’un Grammy Award, va rester pas moins de 75 semaines en tête des Charts Reggae américains! Record inégalé! Entre-temps, tout le monde craque pour le play-boy jamaïquain et les collaborations affluent: Beyoncé s’offre Baby Boy et Sasha I’m Still in Love With You. Et la liste d’attente s’allonge… 2005 marquera le retour de Sean Paul avec The Trinity (Warner), un album tout à son image et dans lequel les filles, les fringues et les sorties entre potes restent les thèmes de prédilection. Enregistré en grande partie en Jamaïque, The Trinity contient également son lot de bons moments. Les trois premiers singles (We Be Burnin’, Ever Blazin’ et Temperature) se sont d’ailleurs tous frayé un chemin jusqu’aux sommets des hits-parades mondiaux, et la barre fatidique du million d’exemplaires est désormais franchie. Et Sean Paul est aujourd’hui entré dans la cour des plus grands, ceux que l’on vénère et à qui l’on ne refuse plus rien… Un concert à ne manquer sous aucun prétexte!
La star incontestée du Reggae/Dance Hall jamaïquain sera à la citadelle de Byblos ce samedi 15 juillet. Un artiste au look de play-boy et aux tubes interplanétaires qui va faire grimper la température dans le rouge! Garantie 100% pure jamaïquaine! Yo!
À moins que vous n’ayez passé les dernières années de votre existence sur Mars, impossible que vous soyez passé à côté du...